1. La bourgeoise et le marabout (27)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... de palefrenier.
    
    Solidement maintenue par la taille par ses mains puissantes et calleuses, je ne peux me refuser aux longs jets de foutre qui déversent en moi et me remplissent le fondement. Lorsque mon second étalon se retire, mes deux trous sont dilatés et laissent s’écouler un peu de semence de mes amants.
    
    François dit alors à Etienne :
    
    — Je crois qu’elle est prête pour le final. Faisons entrer le troisième étalon.
    
    Qu’elle n’est ma surprise et mon angoisse lorsque je vois revenir devant moi Fernand tenant un jeune poney en longe. Il le fait s’arrêter juste devant moi et Etienne dit à François :
    
    — Tu es vraiment sûr que c’est ce que tu veux ? Même s’il est moins bien monté qu’un cheval, Oscar a tout de même une belle queue.
    
    François lui répond :
    
    — Ne sois pas inquiet, à Paris, Hélène est habituée aux doubles saillies vaginales. Mon ami le marabout Coulibadou et moi-même avons l’habitude de bien l’ouvrir en même temps. Et quand ce n’est pas nous deux, ce sont des Arabes ou des blacks dans le secteur de Pigalle.
    
    Paniquée, car devinant que la queue d’Oscar doit être bien plus grosse que celle du chien Stark qui m’a baisée il y a deux ou trois semaines, je supplie François :
    
    — Non chérie, pas ça !! Il va m’écarteler et m’ouvrir en deux.
    
    François me répond d’un ton autoritaire :
    
    — Une belle salope comme toi doit goûter à tous les plaisirs. Je sais combien tu es accro à la queue, à la mienne, mais surtout à celle des autres !
    
    Devant mes yeux, ...
    ... Fernand caresse le fourreau d’Oscar puis commence à le branler d’une main ferme. Bien vite, le membre de l’animal se durcit et bande fièrement sous le ventre du poney. Ce sexe me fait peur, mais m’excite pourtant au plus haut point, car je pense au super orgasme que j’ai eu lorsque Stark m’a longuement sailli dans l’appartement de son maître Grégor.
    
    Fernand reprend la longe de l’animal et, quelques secondes plus tard, je sens le souffle chaud du poney sur mes fesses. Après les deux saillies précédentes, nul doute que je sens la femelle en chaleur et cela doit exciter l’animal. Ses naseaux sont maintenant collés à mes fesses et sa langue râpeuse se glisse entre mes jambes. La pointe s’insinue dans mon cul puis dans ma chatte. Il la glisse toute en moi et c’est déjà comme si j’avais un sexe de nouveau en moi. Les entraves qui me maintiennent les jambes écartées m’interdisent le moindre mouvement. Mais, au fond de moi, je crois que la situation est plus excitante qu’inquiétante.
    
    François s’écrie :
    
    — Regardez comme la pouliche est chaude, elle tend la croupe à son nouvel étalon.
    
    Mais alors que je m’attends à être fendue en deux par l’animal, Etienne dit :
    
    — Nous avons pitié de vous Hélène et nous ne voudrions pas blesser une pouliche aussi bandante. Je vais donc vous livrer à mes jeunes moniteurs et palefreniers plutôt qu’à Oscar.
    
    Pendant l’heure qui suit, libérée de mes entraves et offerte en botte et porte-jarretelles, je suis le jouet des cinq jeunes employés ...
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