1. La bourgeoise et le marabout (27)


    Datte: 23/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... contre la botte avec le buste entièrement courbé vers l’avant. Il maintient une certaine tension dans la bride de manière à m’empêcher de me redresser ou de regarder vers l’arrière. François se tient un peu en retrait avec son appareil photo à la main et lance à Etienne :
    
    — Parfait, la jument est en position. Faisons entrer les étalons !
    
    J’entends des voix dans mon dos puis des mains commencent à se poser sur moi. On me caresse les jambes, on me flatte la croupe, on vante le galbe de mes seins, on m’ausculte sous toutes les coutures puis une voix grave se fait entendre :
    
    — Voilà une superbe pouliche ! Cela va être un bonheur de la monter pour l’inséminer.
    
    Me voici maintenant avec un sexe qui se présente devant ma bouche et se glisse entre mes lèvres. Comme Etienne me maintient solidement les poignets, je ne peux rien faire et l’inconnu fait des va-et-vient dans ma bouche. Pendant ce temps, un autre homme a pris position derrière moi et frotte son gland à ma chatte. Je sens alors que l’on m’entrave les chevilles pour m’obliger à écarter les jambes au maximum. Ainsi écartelée, ma chatte s’entrouvre et la seconde queue peut se glisser dans mon étroit fourreau. Ainsi baisée dans la pénombre dans ce box aux odeurs âcres et animales, la situation est des plus excitantes. Celui qui me baise accélère la cadence et se vide en moi. Aussitôt, celui qui je suce se retire de ma bouche gourmande et vient se positionner à son tour derrière moi. Il se met à genoux et me lubrifie ...
    ... l’anus de sa langue râpeuse.
    
    Puis, une fois redressé, il passe une main sur ma chatte, recueille un peu de sperme du premier sur ses doigts et me lubrifie bien entre les fesses. Il se colle ensuite à moi et, tandis que je dois sucer Etienne qui souhaite profiter de la soirée, mon second étalon m’encule d’un coup sec et me besogne sans ménagement. Il me caresse les seins, me mordille la nuque et me baise avec lenteur pour mieux profiter de mon fourreau intime qui se détend au fur et à mesure de la saillie. Etienne jouit dans ma bouche, se retire et disparaît de mon champ de vision. Celui qui me sodomise prend un vilain plaisir à ne pas accélérer la cadence alors que j’aimerais qu’il me donne de rapides et violents coups de queue. Sans le voir, j’entends François qui lui dit :
    
    — Oui, c’est bien ! Prenez votre temps pour bien profiter de cette jument en chaleur.
    
    Etienne, que je devine sur ma gauche, enchaîne :
    
    — Vas-y Fernand ! Tu vois bien que mon ami t’offre sa femme de bon cœur. A Paris, il n’y a pas de gars de la campagne pour la saillir comme elle le mérite.
    
    Ces paroles doivent exciter le dénommé Fernand, car le voici qui me défonce enfin à grands coups de bite. Je l’entends qui ahane et je devine qu’il transpire comme une bête. Il se met à me traiter de tous les noms :
    
    — Petite salope, tu aimes ça ! Y a pas de pute ici à la campagne et j’ai pas souvent l’occasion de baiser. Alors, une bourgeoise comme toi, j’en profite ! Je vais te remplir de mon bon jus ...
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