Sacré Père Noël !
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
cadeau,
inconnu,
fépilée,
fête,
fsoumise,
BDSM / Fétichisme
Oral
fsodo,
yeuxbandés,
Auteur: Escaro, Source: Revebebe
... humidement et vient taquiner mon œillet : une sensation jusqu’alors inconnue. Aucun amant ne m’a léchée ainsi, forçant mes chairs, salivant sur mon petit trou, insinuant le bout de son doigt avant d’y replonger le visage. Noël attrape alors mes hanches et me fait relever sur les genoux. Le latex du préservatif frotte contre ma vulve et j’ondule du bassin de bas en haut pour caresser son sexe.
Noël l’attrape et le dirige contre ma rondelle.
— Non, pas là !
— Caroline, ne vous méprenez pas : le Père Noël arrive toujours par surprise par la cheminée. Laissez-vous faire : c’est le Père Noël !
Pas le temps de m’extraire qu’il a déjà poussé son gland en moi. Il pénètre aisément mon antre plein de sa salive ; une vive douleur envahit mon derrière. Alors que j’essaye de me soustraire à sa pénétration en avançant le bassin, je me retrouve à plat-ventre sur le lit, son sexe toujours en moi. Plus moyen d’avancer ; Noël s’affale de plus en plus sur moi et l’oreiller retient le cri de douleur qui s’échappe de ma bouche. Son sexe me semble tout à coup énorme alors que quelques minutes auparavant, je l’acceptais dans ma bouche. Transpercée, je le laisse prendre place malgré la douleur que je ressens, je le laisse ruer en moi. Jamais on n’avait pris possession de moi aussi intimement, et je sais pourquoi maintenant. J’aimerais que cela s’arrête, mais non. Noël, allongé de tout son poids sur mon corps, nous fait basculer et je me retrouve maintenant sur lui, allongée.
— ...
... Mets-toi à genoux.
Tel un robot, je m’exécute et, toujours dans mon fondement, je me retrouve à me sodomiser moi-même. Noël continue de me tenir les hanches et fait claquer son bassin à chaque aller-retour ; de plus en plus vite ; de plus en plus mal. Ça pique, ça brûle. Et dire que j’ai des copines qui aiment ça !
Noël se redresse et, sans quitter mon fondement, se retrouve lui aussi à genoux derrière moi. Collé contre moi, il me presse les seins, me pince les tétons tout en remuant toujours plus profondément dans mon derrière. Le claquement de son bassin contre mes fesses provoque à chaque fois la même douleur, et pourtant j’aime le côté obscène de cet accouplement.
Encore quelques allers-retours et Noël me murmure à l’oreille qu’il veut jouir dans ma bouche. J’ai envie de lui dire non. J’ai envie de lui dire que je n’aime pas ça non plus ; mais les mots ne sortent pas de ma bouche. Et quand celle-ci s’ouvre, c’est pour accueillir son sexe.
Debout devant moi, je me tiens à ses mollets alors qu’il investit ma gorge. C’est maintenant ma bouche qui se fait baiser. Finalement, se faire tirer les cheveux ne fait pas si mal ; et tant bien que mal, je l’accueille au rythme qu’il imprime. Il ne lui faut que quelques mouvements et sa sève est projetée contre mon palais. Trois saccades gluantes au goût fade. Il continue à bouger doucement jusqu’à mollir, puis nous fait basculer sur le lit.
— Joyeux Noël ! me dit-il en retirant mon masque.
Je me réhabitue peu à peu à la ...