La bourgeoise et le marabout (38)
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... et le prend en bouche. Lentement, mes lèvres coulissent sur la hampe veinée et le gland turgescent vient cogner au fond de ma gorge.
Abdoulaye se cale bien dans le fond de son fauteuil et exprime aux autres tout son contentement
- Oh, quel doux fourreau pour mon glaive d’acier. Nous avons vraiment là une fellatrice d’exception. J’en profite encore un peu avant de vous la céder.
La queue est maintenant entièrement gorgée de sang et j’ai bien du mal à la prendre entièrement en bouche. Soudain, Abdoulaye se lève, me fait pivoter pour que je me retrouve à genoux devant l’un des deux quadragénaires qui a déjà baissé son pantalon pour en extraire son sexe qui branle lentement. Le vieil homme vient derrière moi, trousse ma mini jupe et, découvrant que je ne porte pas de petite culotte et que mon collant est largement fendu à l’entrejambes, il s’exclame
- Quelle adorable salope nous avons là ! Sous sa tenue de soubrette très respectable, elle est déjà prête à se faire saillir comme une chienne.
Une fois sa queue contre ma fente, il effectue quelques mouvements de va et vient pour bien me préparer. Puis, d’un coup sec, il se glisse dans ma chatte déjà ruisselante d’envie. Malgré la douleur de cette pénétration, je ne peux crier car ma bouche est déjà occupée à sucer un autre baobab. Il doit être aussi gros que le précédent mais un peu moins long. J’en ai tout de même plein la bouche.
Les quatre africains, même les deux qui ne sont pour l’instant que spectateurs, ...
... ne tarissent pas d’éloges sur mes aptitudes pour le plus grand plaisir de François qui, bien calé dans son fauteuil, savoure le spectacle en continuant à boire du Bordeaux et à savourer quelques toasts.
- Monsieur de Saint Jouy, quelle superbe salope vous avez là à votre service !
- Vas-y Abdoulaye, ouvre là bien pour nous.
- Sa bouche est un vrai fourreau de velours !
- Ne l’épuisez pas, nous voulons nous aussi en profiter.
- Patiente jeune Mamadou, elle sera toute à toi après nous avoir bien vidés.
- Oui jeune puceau, tu vas pouvoir bientôt jeter ta gourme.
- J’ai hâte ! Et le faire avec une blanche aussi salope, quelle belle initiation !
Abdoulaye me pilonne de plus en plus fort et me tient de plus en plus fermement les hanches. Soudain, dans un ultime coup de queue, il se niche au plus profond de moi et la sève du baobab se répand dans ma grotte. J’ai l’impression qu’il n’en finit pas et de longs filets blanchâtres coulent le long de mes cuisses lorsqu’il se retire.
Celui que je suçais vient aussitôt prendre sa place mais l’introduction est beaucoup plus facile. Evidemment ! Le second quadragénaire glisse sa queue déjà bien bandée dans ma bouche. Pas le temps de souffler !
Pendant un bon quart d’heure, je suis de nouveau embrochée par deux superbes queues d’ébène et je gémis de plaisir sous ces assauts puissants.
Une fois que mon baiseur s’est bien vidé, je commence à sucer le jeune Mamadou tandis que le troisième se colle contre moi. Il ...