1. La bourgeoise et le marabout (38)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    François est un mari tolérant qui ne s’offusque pas de me voir batifoler à droite et à gauche du moment que mon cœur lui reste fidèle. Heureusement qu’il a la même philosophie que moi, qu’importe les infidélités du corps de l’un ou de l’autre quand les deux cœurs restent fidèles l’un à l’autre ! Je suis certaine qu’il a quelques aventures extra conjugales mais je ne m’y intéresse pas. Comme l’a chanté Jacques Brel, « il faut bien que le corps exulte… », pour lui comme pour moi. Cependant, ce vendredi lors du dîner, il me déclare l’air grave
    
    - Chérie, cela fait plusieurs fois que tu rentres à la maison l’air fatigué et que tu t’endors aussitôt au lit.
    
    Je lui réponds
    
    - Les semaines de travail sont souvent épuisantes et travailler avec ces fortes chaleurs est éreintant.
    
    Il me fait un petit sourire sournois et ajoute
    
    - J’ai vérifié tes strings dans le panier de linge sale. Ils sont régulièrement trempés et sentent le foutre. Ce sont surtout tes rencontres coquines qui te fatiguent !
    
    Avant que je puisse rétorquer quoi que ce soit, il poursuit
    
    - J’accepte que tu te fasses baiser de temps en temps sans moi mais je veux, comme tu le sais très bien, être parfois le maître de cérémonie de tes orgies. Or, cela fait déjà quelques semaines que tu me laisses de côté !
    
    Prenant un air penaud la tête basse, je lui dis
    
    - Oui chéri, je comprends parfaitement. Si tu le souhaites, je suis ta chose ce week-end. Tu peux disposer de moi comme tu le souhaites.
    
    Une ...
    ... fois dans notre chambre, j’enfile ma nuisette et François me demande aussitôt de me mettre à genoux sur le prie-Dieu qui est normalement dévolu à des fonctions de porte vêtements. Je suis face au grand miroir de l’armoire, François se positionne derrière moi et, après avoir passé lentement son gland sur la fente de ma chatte, il me pénètre d’un coup sec.
    
    - Chérie, tu te fais tellement baiser que je n’ai jamais de difficulté à te prendre. Tu as encore dû goûter à du gros calibre cette semaine.
    
    me dit-il tout en me besognant.
    
    Entre deux gémissements de plaisir, je lui réponds
    
    - Oui chéri, tu me connais bien ! J’avoue que j’aime être bien ouverte de temps en temps par une grosse queue. C’est si bon !
    
    - Alors je crois que tu ne vas pas être déçue ce week-end. Je vais te trouver du gros !
    
    ajoute t-il avant de se répandre en moi.
    
    Le samedi matin, comme à son habitude, François va jouer au golf à Saint-Cloud avec quelques amis. C’est lors du déjeuner qu’il précise ce qu’il a prévu pour moi suite à notre conversation de la veille. Au moment du dessert, il m’annonce
    
    - Chérie, tu te souviens de l’excellente soirée passée ici avec mes trois copains de régiment. Tu avais été une soubrette particulièrement remarquée !
    
    Je me souviens en effet de cette soirée mémorable où François, prétextant sa femme absente, m’a fait passer pour une femme de service régulièrement embauchée par leur couple pour des repas en extra. Au cours de la soirée (Cf. chapitre 14, « Soirée ...
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