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Pute à l occasion
Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... point insoutenable. Pour parachever la tactique je lui demandais un instant de passer aux toilettes. Je fis mine de chercher une chose dans mon sac et me baissais un moment devant lui. Il devait manifestement regarder sous ma robe. Le string devant laisser voir de jolies fesses fermes et bronzées. Lorsque je me relevais son visage était empourpré au point qu'on eût craint un début d'apoplexie. Je triomphais. J'enlevais prestement la culotte aux toilettes. Chatte à l'air je devins du coup insatiable. Prise à mon propre jeu je n'avais de cesse qu'on me prit. Garce invétérée j'étais. La conversation roulait sur des banalités. Il était acquis que mon fils demeurait dans l'appartement. En effet le vicieux m'avoua qu'il avait dessein d'en vendre un autre. Il avait plusieurs cordes à son arc. Puis il ajouta : j'aime complaire à une jolie femme. A ce trait vulgaire je crus devoir répondre par un geste. Celui d'écarter à ce moment les cuisses afin qu'il vit que mon string avait disparu. Il y eût comme une interruption dans le débit de la conversation. Il y eût un silence. Un ange passait. Il ne pouvait qu’interpréter d’une façon mon geste. Il avait affaire à une salope. Parlant du métier de mon mari, nous découvrîmes qu'il l'avait lui aussi pratiqué. Il avait en effet bourlingué et travaillé pour une compagnie de pétrole. Je ne lui cachais pas que je trouvais pénible les absences réitérées du mari. Façon de lui ...
... signifier que j'avais compensé cela par des amants. Un moment je me levais faisant mine d'observer quelque chose à la fenêtre. Je marmonnais entre les dents: « Ma voiture est mal garée. Les places sont-elles payantes ici ? » Il s'approcha derrière moi. Je sentis son souffle sur ma nuque. Il dit : « N'ayez crainte. » Il m'avait enlacé comme je le désirais et m'embrassait sur le cou. Je me laissais faire fermant les yeux. Tant de fois avais-je fait ce geste de m'abandonner. Ses mains pétrissaient mes fesses. J'étais tout à lui. Son ton changeait. Le porc s'affichait en des propos graveleux. « Petite Salope je te loue d'être venue. « Je veux complaire à ton fils. « Il ne tient qu'à toi que je sois gentil. » Peu après j'étais accroupie devant lui, le pantalon chu sur le sol. Je le suçais. Il avait la queue belle et vigoureuse pour un vieux. N'était-ce pas ma première bite à sucer ce jour-là ? Sa bedaine et son poil dessus ne m'arrêtèrent pas. J'étais familière des vieux porcs. Mon patron notamment me prenait sur le bureau. Ils étaient experts et connaissaient les corps de femme. Ainsi celui-ci comme d'autres avec sa langue sut me faire jouir. Il me bouffa le cul et la chatte. J'étais à point. Prête à être fourragée en tous sens. Quasi nus nous poursuivîmes sur le divan. Il me besogna en levrette. Il avait un sacré coup de rein. Je ne m'attendais pas qu'à pareil âge il put déployer tant de vigueur. Je n'étais pas mécontente ...