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Pute à l occasion
Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Il faut prendre des fois le taureau par les cornes. La rentrée s'annonçait sous de mauvais auspices. Mon époux faisant montre de mauvaise volonté. Je devais une fois de plus m'y coller. Notamment m'assurer que chaque difficulté serait surmontée pour les enfants. Ainsi un de mes fils étudiant ne pouvait conserver son studio en centre-ville qui pour parti l'avait bien disposé pour les études. Il me demanda d'intervenir auprès du propriétaire. Ce dernier avait projet de vendre. Plein aux as, il ne s'agissait que de spéculation. Il me fallait circonvenir ce millionnaire. J'eus le monsieur au téléphone lequel fut désagréable. Il me signifia le peu de cas qu'il faisait du destin de mon fils. Il n'avait cure de ses diplômes. Je perçus le ressentiment du vieux contre les jeunes. Il fallait avec ce type de zozo user des grands moyens. Rien ne supplée le réel et la confrontation directe. Je décidais d'aller sonner chez le monsieur. Je savais que l'abruti avait soixante-dix ans et était veuf. Mon fils ne l'avait pratiqué qu'au téléphone et par courriel. Il pouvait peu m'en dire. J'étais à tâtonner et à me résoudre à l'improvisation ce qui me convenait. Il s'agissait d'un mâle. Avec ce sexe j'usais souvent de même. Droit au but. Il n'était pas exclu cependant qu'il fut pédé ou eut du rejet pour les femmes. Je me savais plaire aux hommes et en exciter grand nombre. A quarante ans je ne dédaignais pas d'arborer souvent ...
... la mini jupe. Je faisais fi des commentaires. Les autres femmes pouvaient me trouver vulgaire voire me traiter de pute. Cela m'importait peu. Mes amants étaient jeunes. Je pouvais cependant à l’occasion forniquer avec des vieux. Dans mon boulot c'était courant. Des collègues en avaient profité. J'étais résolu à faire du charme à un imbécile dont je savais si peu de chose. Aussi eu-je comme une boule au ventre. Il me parut que je pouvais être déçue et échouer. Peut-être devais-je me résoudre à trouver d'urgence une autre location pour mon fils. J'en savais toute la difficulté à pareille période. Néanmoins je me confectionnais une apparence offensive : un maquillage limite outré, une robe légère des plus courtes et des sandales à talons haut avec le parfum requis qui subjugue souvent les mâles. Il faisait beau en ce mois de septembre. Il devait être dix heures lorsque je sonnais. Je mesurais à présent l’impertinence de ma démarche. J'eus presque voulu que personne n'ouvrit. Au bout de la troisième tentative j'étais prête à tourner les talons. Je pestais contre moi de ma mauvaise idée lorsqu'une voix chevrotante se fit entendre dans l'interphone. Je m'annonçais puis il y eût silence. Levant la tête je vis un rideau de fenêtre frémir. On devait là-haut me considérer. J'envisageais l'échec. Le silence perdurait. Je ne pouvais décemment insister. Était-ce une fin de non- recevoir ? Puis de nouveau grésillement à ...