1. La bourgeoise et le marabout (47)


    Datte: 20/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... mettre en levrette sur le lit, je comprends vite que mon marabout l’a autorisé à bien plus ; ce qui n’est finalement pas pour me déplaire.
    
    De ses mains, il retrousse ma robe sur mes reins et écarte le fin tissu de mon string. J’écarte bien les jambes et, bien vite, son gland commence à jouer avec ma fente. Je ne sais pas si cela fait longtemps qu’il n’a pas baisé, mais il ne perd pas de temps pour s’introduire d’un coup sec. Une fois au fond de ma chatte, il ne bouge plus, savourant certainement le fait de pouvoir posséder ainsi une belle bourgeoise parisienne.
    
    Puis il se retire entièrement, replonge aussitôt au plus profond de moi et recommence ainsi plusieurs fois. Avec un tel traitement, ma chatte est vite en feu et je tends la croupe en arrière pour mieux être possédée. Puis, me saisissant bien par les hanches, il commence à accélérer la cadence en prononçant des paroles incompréhensibles pour moi. Mais je me doute qu’il doit certainement exprimer ainsi toute sa satisfaction de me saillir aussi profondément.
    
    Soudain, il pose ses mains sur mes épaules, me tire vers l’arrière avec force, soudant ainsi mes fesses à son pubis. Puis j’ai l’impression qu’un flot se déverse en moi, tellement il éjacule de longs jets de foutre, j’ai l’impression que cela ne va pas s’arrêter.
    
    Je n’ai pas le temps de me relever que l’on me saisit de nouveau par les hanches. Je sens des doigts qui recueillent le foutre qui coule de ma chatte pour bien m’en enduire le cul. Puis, une bite ...
    ... aussi grosse que la précédente se plante dans mon fondement. J’entends alors la voix de mon marabout me dire :
    
    — Alors Hélène, avez-vous apprécié la queue d’Abdoulaye ? Lui a grandement apprécié votre chatte !
    
    Je ne peux lui répondre tellement un nouvel orgasme commence à m’emporter de nouveau au septième ciel. Cela fait longtemps que mon marabout ne m’a pas baisée et il semble vouloir en profiter. Il prend donc son temps, me lutine avec lenteur tout en me caressant les cuisses, le ventre et les seins. Il me mordille la nuque et cela m’excite.
    
    Tout en me baisant, mon marabout me dit :
    
    — Les pensionnaires du centre sont ravis de la venue de votre amie Nathalie. C’est la première fois qu’une bourgeoise blanche leur rend visite.
    
    Puis il se raidit à son tour et se vide en moi. Je reste allongée sur le lit quelques instants pour retrouver mes esprits après ces deux saillies particulièrement viriles.
    
    Cela fait presque deux heures que je suis là, et il est temps que je prenne le chemin du retour pour arriver à la maison avant mon mari François. Accompagnée de mon marabout, je quitte la petite pièce d’Abdoulaye pour retraverser la grande salle et quitter les lieux. Quelle n’est pas ma surprise de découvrir Nathalie sur des matelas jetés par terre ! Les jeunes lui ont retiré son imperméable, son string et son soutien-gorge ; il ne lui reste plus que ses bas noirs, son porte-jarretelles et ses jolies bottines. Cinq ou six mâles sont allongés avec elle sur les matelas ...