1. La bourgeoise et le marabout (47)


    Datte: 20/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... envies vont être satisfaites !
    
    Il se lève et nous lui emboîtons le pas en remontant le boulevard Ney.
    
    Ce quartier en bordure du périphérique n’est vraiment pas très reluisant, et heureusement que nous sommes accompagnées de maître Coulibadou sinon nous n’en mènerions pas large. Au bout de cinq minutes, nous tournons à droite dans une toute petite rue, puis moins de 50 mètres après, nous entrons dans un immeuble plutôt délabré. Notre guide nous fait monter au deuxième étage et là, nous arrivons dans une immense pièce où sont installés de nombreux lits de camp sur lesquels dorment, papotent ou jouent aux cartes des jeunes blacks et beurs. Monsieur Coulibadou nous explique alors :
    
    — Nous sommes ici dans un lieu d’hébergement de jeunes immigrés africains sans papiers. C’est des amis à moi qui gèrent le lieu.
    
    La plupart des jeunes se sont aperçus de notre arrivée et nous observent. Mon marabout nous fait traverser une grande salle et nous entrons dans une plus petite où un vieil Africain regarde une petite télévision posée sur un meuble bancal. Monsieur Coulibadou dit à l’homme :
    
    — Bonjour, Abdoulaye, tu vas bien ?
    
    Puis, les deux hommes commencent une conversation à laquelle nous ne pipons pas le moindre mot. Mais cela semble intéressant, car le dénommé Abdoulaye nous regarde avec attention.
    
    Les deux hommes semblent avoir trouvé un terrain d’entente, car ils se serrent la main. Mon marabout nous dit alors :
    
    — Hélène, vous restez ici avec mon ami et vous ...
    ... êtes très gentille avec lui. Je vais présenter Nathalie à quelques amis à côté, puis je reviens vous retrouver.
    
    Une fois qu’il est seul avec moi, Abdoulaye me fait asseoir sur le petit lit situé dans un angle de la pièce, il retire sa djellaba et vient vers moi. Je comprends vite quel genre de marché a passé avec lui mon marabout. Nathalie va pouvoir passer la nuit ici avec tous les mâles, mais moi, je dois satisfaire le vieux gardien des lieux. L’homme a une longue bite qui pend, inanimée entre ses jambes. Je la prends dans la paume de ma main et je commence à la caresser d’une main tout en lui malaxant les bourses. Sa tige reprend vie dans ma main, gonfle, palpite, puis se redresse en laissant apparaître de grosses veines bleues. Le vieil homme est debout devant moi et j’ai son énorme gland violacé à la hauteur de ma bouche. Il pose ses mains derrière ma tête et m’attire tout contre son bas-ventre. Mes lèvres embouchent ce glaive d’ébène qui ne demande qu’à être pompé. J’en ai plein la bouche et sa queue continue de gonfler. Quelle bite de cheval !
    
    Abdoulaye s’agite du bas-ventre et me donne des coups de queue, et j’ai l’impression qu’il se masturbe dans ma bouche. Je serre fort les lèvres pour bien enserrer sa tige, car maintenant, je ne doute plus que Monsieur Coulibadou lui a dit qu’il était autorisé à bien se faire sucer en échange des services que les jeunes allaient rendre à Nathalie.
    
    Mais lorsqu’il se retire de ma bouche, me force à me retourner et me fait ...
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