1. L’INTERNAT


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Première fois Auteur: avecloir, Source: xHamster

    ... l’entrée.
    
    On va rejoindre les filles au restaurant. Elles sont toutes surexcitées, et elles ne parlent que de ça. Les plus anciennes évoquent ce qui s’est produit il y a deux ans, lorsqu’une équipe de volley-ball qui avait gagné la coupe de France était venue dans l’établissement. Il y a eu un long moment dans la journée où leurs managers les ont cherchés sans les trouver. Ils étaient à l’internat avec nous, et sans doute n’ont-ils pas oublié avant longtemps ce qu’on leur avait fait. Nous non plus. Le soir on s’est couchées avec des souvenirs plein la tête, et la sensation de sentir encore leur sperme couler dans nos bouches et nos ventres…
    
    Cette venue, c’est une manière de mettre un peu de couleur dans des vies moroses.
    
    On se dit toutes qu’on ira les attendre à leur arrivée. Ils n’auront que l’embarras du choix, et nous trouverons forcément chaussure à notre pied. Nous ne sommes pas spécialement difficiles…Ça ne sera qu’un après-midi, mais ça changera pas mal de choses pour nous. On finira la semaine avec plus d’optimisme…
    
    On gagne nos salles de cours quand on remarque qu’un surveillant accroche partout des affiches annonçant effectivement « visite des cadets du rugby, soutien à leur déplacement en championnat de France. »
    
    Ça confirme la nouvelle et nous remplit de joie.
    
    Les heures passent. On a toutes l’esprit partagé entre les cours et des fantasmes crus dans lesquels des sexes d’homme nous fouillent et nous font jouir. Je tourne en boucle dans un état ...
    ... d’excitation permanent, les nerfs à vif, la culotte humide. A la pause de 10 heures, je m’éclipse aux toilettes, pas pour faire pipi, mais parce que j’ai envie de me toucher. Sous ma jupe, je trouve mon slip plus trempé que je ne l’aurais imaginé. Je me caresse à travers le tissu, puis en baissant ma culotte, rêvant qu’il y a un garçon là, devant moi, avec sa queue raide, et que je la prends dans ma bouche, m’en remplissant, la dégageant pour la lécher ensuite, et cette seule pensée, ajoutée à la pression de mon doigt sur mon clitoris, suffit pour me faire jouir. Pourtant, ce n’est pas assez, je continue de me frotter, dessinant dans le vide du lieu d’autres scènes plus crues encore, comme celle où je m’assieds sur lui, et je monte et descends sur lui. Dire que ce rêve est là, si proche et si lointain…J’aimerais que ce soit tout de suite…Je roule ma culotte humide en boule, je la glisse dans mon sac pour en prendre une de rechange, sèche, mais qui ne le restera sans doute pas longtemps.
    
    Au repas de midi, on est dans un état de grâce. On ne parle quasiment pas, plongées dans des rêveries qui sont au-delà de l’érotique.
    
    On regagne l’internat et à 13 h 30, on part ensemble vers les grilles. Je me dis que, vu de loin, ça doit être un spectacle mémorable que cet ensemble de filles, grandes, petites, blondes, brune,s rousses, qui se dirigent, telle une armée déterminée, vers leur but.
    
    On est à cent mètres de l’entrée quand on croise Pierre S, qui a une mine dépitée. On ...
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