1. L’INTERNAT


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Lesbienne Masturbation Première fois Auteur: avecloir, Source: xHamster

    L’INTERNAT
    
    Il est un peu plus de six heures du matin quand elle me rejoint, en poussant simplement la porte qui sépare nos deux chambres, puisqu’il y a une porte communicante dans chaque unité de deux pièces.
    
    On doit se lever à six heures trente, il y a une sonnerie. On a une bonne demi-heure pour nous, ce qui est largement suffisant. Je suis réveillée depuis un moment. Comme d’habitude j’ai repris conscience avec des démangeaisons dans le sexe, et l’envie irrésistible de le frotter. J’ai porté mes mains à mon pubis pour me trouver mouillée et ouverte et j’aurais été bien incapable de me retenir. Je me suis mise à me frotter, mes doigts tournant sur mon sexe. Quand je remonte, je sens mon clitoris qui gonfle un peu plus à chaque mouvement circulaire. Je m’émerveille toujours de la façon dont mon sexe peut produire des sécrétions. Ça coule en un flot continu, qui poisse l’intérieur de mes cuisses, et les draps. Je m’amuse souvent à imaginer la lingère, mettant les draps dans la machine et reniflant l’odeur des sécrétions de toutes les filles qui se touchent le soir et le matin, ou se donnent du plaisir à deux, ou alternent les deux.
    
    Ça me fait un coup au cœur quand j’aperçois la silhouette de Carole. Ce qui n’a été au départ qu’un simple moyen de tuer le temps a aujourd’hui pris une autre dimension. J’en pince vraiment pour elle, et j’ai du mal à me passer de sa présence. Le week-end précédent, on s’est arrangées pour se voir, ça a calmé le manque qui m’accable en fin ...
    ... de semaine et me démoralise. Je ne suis bien que quand ma bouche est sur la sienne, et mes mains sur sa chair.
    
    On s’endort souvent dans les bras de l’autre. Hier soir, pourtant, elle a du partir précipitamment. Il ne lui reste que sa mère, celle-ci est dépressive. Elle a appelé sa fille. Je me suis mise au lit avec mon portable dans la main. Il s’est éclairé sur le coup de 11 heures, un message me disant qu’elle reviendrait à l’internat tôt le matin.
    
    Elle avance jusqu’au lit. Elle porte une nuisette que je ne lui connaissais pas. Comme si elle lisait dans mes pensées, elle me dit :
    
    — Je l’ai ramenée de la maison avec du linge.
    
    L’ourlet lui arrive juste sous le pubis. Avec un petit rire, elle soulève le tissu, me donnant à voir d’abord sa partie face, puis sa partie pile. Je connais bien son corps, mais à chaque fois c’est une redécouverte, et il n’en faut pas plus pour m’exciter. J’aime son dessin, devant le bombement de son pubis et la fente qui s’y inscrit, derrière deux fesses charnues et bombées.
    
    Elle se glisse dans le lit, se contentant dans un premier temps de venir simplement se coller contre moi. Malgré le tissu qui nous sépare, sa chaleur m’envahit, et je sens ses formes contre moi. Cette fois, si je mouille, ce n’est pas parce que ma main tourne sur mon sexe.
    
    Elle me serre un moment, puis elle se dégage un rien pour venir me caresser. Moi, j’ai un simple T-shirt, et elle n’a donc aucun mal à trouver le chemin de ma chatte.
    
    — Tu m’attendais, dis ...
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