L’INTERNAT
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Première fois
Auteur: avecloir, Source: xHamster
... baladée pas loin de moi, m’offrant ses charmes à mater. Elle s’est finalement assise à ma table.
— Je peux me mettre là ?
J’ai acquiescé.
Ce jour-là, elle portait une robe noire, très courte, sa poitrine tendant le tissu. Je l’ai observée du coin de l’œil, pendant qu’elle prenait des notes sur sa tablette. Elle me faisait vraiment de l’effet.
J’ai été surprise quand elle m’a proposé :
— Tu devrais jeter un coup d’œil sous la table. Je pense que ça peut t’intéresser.
J’ai laissé tomber un stylo par terre, et je me suis mise en devoir de le ramasser.
Le spectacle valait effectivement le détour.
Quand elle s’était assise, sa robe s’était retroussée sur ses hanches dévoilant son ventre. J’avais pensé qu’elle avait un collant, en fait c’étaient des bas stay up, accrochés au haut de sa cuisse. Quant à sa culotte, elle n’en avait aucune, donnant à voir un sexe d’autant plus offert qu’elle venait de ficher ses deux index dedans, et qu’elle les écartait, offrant à mon regard son intérieur.
C’est ce jour-là, à cette heure-là que j’ai franchi la ligne. J’aurais pu me redresser et ignorer l’offre qui m’était faite. Au lieu de cela, j’ai avancé jusqu’à elle, le sang bouillonnant dans les veines. Son sexe était tout luisant et du liquide coulait d’elle. J’ai posé ma langue dessus et j’ai lapé. Ça avait un goût amer. J’ai senti son corps se tendre. J’ai imaginé, à défaut de le voir qu’elle serrait les lèvres pour ne pas crier. J’ai parcouru toute la surface ...
... qu’elle m’offrait, son liquide intime coulant dans ma gorge. Je sentais son corps vibrer. J’ai su qu’elle avait joui quand un flot d’un liquide plus épais est arrivé dans ma gorge. Je me suis redressée, la bouche poisseuse de ses sécrétions. On s’est souri, un sourire complice.
— J’ai fini la journée. Tu m’attends ?
On a regagné l’internat pour se jeter l’une sur l’autre. Ce soir-là, on n’a pas été manger. On était accro au corps de l’autre, au plaisir qu’il pouvait nous donner, et cet état de grâce s’était prolongé.
— J’ai envie de tes gros nichons.
Je suis revenue au présent. Carole s’est redressée, et m’a laissé rouler sa nuisette le long de son corps. Elle a une taille fine, sur laquelle ses seins volumineux ressortent encore plus. Ils sont très ronds, et parfaitement fermes dans leur verticalité. J’aime les caresser, pour leur rondeur, la douceur de leur peau, mais aussi et surtout pour ces tétons qui ne sont jamais totalement au repos, toujours érigés, même si le degré de leur érection varie. Là, la fraîcheur de la pièce a eu un effet sur eux, et ils se sont mis à durcir, devenant plus épais et plus longs. J’en prends un dans ma bouche, faisant rouler ma langue dessus. Carole ferme la bouche pour ne pas gémir. Nous nous connaissons par cœur à présent, je connais ses particularités, elle connaît les miennes. Ensuite, je bascule sur l’autre, le faisant lui aussi s’allonger.
La particularité de Carole, et je ne suis pas sûre qu’elle ait cela en commun avec ...