Amour passion - Histoires de Sexe

Amour passion

... inonder ma chute de rein de sa semence au parfum d’homme. Des râles profonds se font entendre à chaque jet chaud que je reçois. Je venais à l’instant d’assouvir Paul de ses pulsions de baise et j’étais, étrangement, fière que mon cul lui serve à vider ses couilles d’homme.

La porte de la pièce s’ouvre de nouveau, Paul sort et referme derrière lui. Moi, je n’ai pas bougé d’un iota, je suis entièrement souillée des giclées encore tièdes déversées et ruisselantes entre ma raie.

De nouveau seule, je repense à ce que je viens de vivre, je suis encore en émoi et mon esprit vagabonde toujours. La chaleur de mon corps transpire davantage le désir mais je reste immobile, soumise, offerte et dans l’espoir d’un assouvissement rapide. Mon bassin décrit encore des mouvements discrets de va-et-vient comme pour exprimer un désir latent. Mon état d’excitation ne s’est guère apaisé et cela en devient même désagréable.

Il me manque quelque chose, mon trou d’amour semble être prêt à en recevoir encore. Mon clitoris encore trempé appelle au plaisir, je veux être remplie davantage, mon corps a du mal à patienter plus longtemps, je veux être prise entière, me laisser errer dans le plaisir du sexe, gémir et jouir enfin. Mais sans mon maître tout devient si difficile…

Au bout de longues minutes, j’entends Paul revenir, rouvrir la porte et entrer dans la pièce. Songeant que je vais enfin en recevoir encore, mon souffle s’accélère au rythme de mon pouls et mon bassin oscille de plus ...

... belle. Il se place alors derrière moi, je sens sa queue dure et vigoureuse. Il glisse alors sa main dans ma fente en écartant mes fesses puis la ressort ruisselante d’une mouille crémeuse. Il pose sa main souillée sur une de mes hanches, écarte de l’autre mes lèvres ô combien détrempées et afin de ne plus me faire attendre plus longtemps, me pénètre doucement de sa longue queue amoureuse.

Elle entre facilement et épouse parfaitement mon petit trou préparé à son plaisir. Je sens bien qu’il aime ça, sa queue gonfle davantage à chaque coup de reins qu’il m’offre, je gémis discrètement, il accélère le mouvement, place deux doigts en haut de ma fente et me branle voluptueusement, pendant que ses doigts travaillent mon bouton d’amour, je sens monter en moi l’incontrôlable, je m’efforce de tenir, de ne pas crier mais mon clito est devenu trop sensible à présent, je lui demande d’arrêter, d’aller moins vite mais il n’en fait rien. Mon corps ne répond plus, mes jambes se raidissent, mes mains sont en sueur et je les sens glisser contre la commode à chaque claque trempée que prend mon cul, je vais jouir, je ne peux plus rien contrôler, j’ai trop chaud, vraiment trop chaud puis sans m’en rendre compte je pousse un râle, puis deux, puis trois, quatre, cinq, dix, je ne sais plus. J’avais joui comme une femme qui n’avait pas baisé depuis six mois et j’étais tellement trempée que j’ai dû par la suite me séparer définitivement de mes bas.

Après une nuit de sommeil bien méritée, on remit ça ...