Amour passion
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
fsoumise,
odeurs,
pénétratio,
yeuxbandés,
journal,
fsoumisah,
Auteur: PK1000, Source: Revebebe
... conditions pour le restant de la nuit. Puis, une toile au Gaumont Montparnasse. Aller voir jouer Nicolas Cage est toujours un plaisir pour moi. Enfin pour finir, un dîner aux chandelles au Bernica, notre petit restaurant aux spécialités réunionnaises aux menus toujours bien épicés.
Sur le chemin du retour, il avait remarqué une jolie femme d’une petite quarantaine d’années marchant sur le trottoir. Elle paraissait très féminine dans un jeans moulant ses formes de femme mature. Je sais que Paul adore les femmes en jeans, il les trouve très sexy en pantalon bien serré, si de surcroît on lui devinait sa petite fente de devant, alors il ne se gênait pas pour la reluquer. Cela me dérangeait de savoir qu’une autre femme que moi pouvait lui plaire, mais bizarrement cette situation m’excitait. Me faisant remarquer qu’elle avait un beau petit cul et qu’il le baiserait bien, il commença à me faire de franches allusions sur ce qu’il avait envie de faire de moi en rentrant.
Me détaillant avec minutie ses différents projets sur ma personne, j’ai vite compris que visiblement cette passante lui avait donné des idées bien coquines. Moi je l’écoutais et de minute en minute je sentais monter chez moi une envie de plus en plus précise. Au fil de son récit, mon bas-ventre chauffait davantage voluptueusement et je crois même que j’en étais arrivée à mouiller ma petite culotte.
Rentrant chez nous, il m’emmena sans plus attendre dans notre chambre à coucher. Il était vraiment impatient de ...
... me posséder. Il me demanda de l’attendre seule quelques instants, puis je l’entendis fouiller dans un tiroir du salon et il revint accompagné d’une paire de menottes et d’une étoffe de couleur noire. Il me demanda alors de me pencher en avant sur la commode, je m’exécutai docilement puis il m’enchaîna les poignets au radiateur faisant face à moi et de cette étoffe noire me recouvrit les yeux.
Il souleva doucement ma petite jupe jusqu’à la taille et baissa délicatement ma petite culotte transparente, jusque mes chevilles. Il y découvrit les traces humides d’une excitation évidente, me le fit remarquer en me le chuchotant puis ressortit de la pièce en fermant la porte sans explication.
Mon corps, penché et plaqué sur le meuble, permet maintenant à mes fesses de s’offrir entièrement. Mes jambes portent mes bas noirs et mes pieds sont chaussés d’escarpins soulignant davantage le galbe de mon offrande.
Prisonnière et soumise, ma position, quelque peu inconfortable certes mais tellement suggestive, crée chez moi le désir de m’offrir tout entière. Je reste là, patiente, et prête à me satisfaire du moindre souhait de mon geôlier.
Après plusieurs minutes de silence, je discerne des pas se rapprochant vers moi. Puis, après quelques instants, j’entends la porte de notre chambre s’entrouvrir et devine sa présence.
La pièce entière embaume déjà de mes effluves de femme mûre, un doux mélange de parfum à la fois musqué et poivré. L’odeur sensuelle persistante et ce panorama à ...