Moi, Pro-Fesseur, épisode 3
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... après avoir mis sa maison sans dessus-dessous, je la trouve, nue, le corps encore plus meurtri que si s’avait été moi. Le fumier, il va payer !
Je pose Sidonie dans la voiture, efface mes traces méticuleusement avant de créer un accident bien involontaire. Ça a du bon l’armée ou comment foutre le bordel sans que personne ne sait comment s‘est arrivé.
Je regarde ma montre, profite un peu pour prendre tout ce qui était à moi et ma sœur. Il a tout gardé ce con, je subodore qu’il se branlait dans les culottes d’Isabelle quand elle était petite. Il ne perd rien pour attendre.
« Ça va ? »
« Mieux quand je suis près de vous. Il m’a fouetté jusqu’au sang parce que je ne voulais rien dire. »
J’en rage, je fulmine, j’ai des envies de meurtres. Je roule vite avant qua la main de Sidonie ne se pose sur mon bras. Son sourire me calme. Je m’arrête, l’embrasse en lui caressant sa petite chatte. Si elle ne peut jouir, cela va la détendre, lui faire un peu oublier. Mais s’il l’a baisée, il va crever à petit feu. Dans sa cage, cette pauvre cloche de frangin n’en mène pas large. Il ne peut bouger sans avoir très mal. Nous croisons les pompiers, les flics et même une ambulance. Je souris, mon truc a fonctionné. Ils ne trouveront rien que des cendres à leur arrivée. Dans ma pièce hard, je couche Sidonie, l’embrasse tendrement. Le frérot ne peut que nous regarder. La radio annonce une maison qui à bruler à une cinquantaine de kilomètres. Il comprend vite qu’il s’agit de la sienne, ...
... de cette de notre enfance, le frangin. J’appelle Isabelle, lui annonce la nouvelle. Elle sera de retour dans deux jours.
« Tu vois, il ne fallait pas te mettre entre elle et moi ! T’es qu’un salaud doublé d’un fumier encore plus pervers que moi. Seulement avec moi, on vient me trouver, toi, tu veux prendre, jouir et ça ne fonctionne pas. Sinon, ta mâchoire, ça va ? Oui, mieux ! Bon, écoute, j’ai un truc à te proposer, un seul. Tu vas mettre les voiles, foutre le camp à l’autre bout du monde et je ne veux plus rien savoir de celui qui était notre frère. J’ai 25 000 en liquide dans mon coffre. Je te les donne et tu disparais sur l’heure. J’ai ton passeport et un coup de fil pour te réserver un billet d’avion pour où tu veux pourvu que cela soit très loin de nous et de nos vies. Oui, Sidonie ? »
« Je peux lui mettre mon pied où je pense, monsieur mon Maître, mon amour de Maître ? »
« Ma belle, dans les histoires de famille, il n’y a ni dieu, ni Maître. Voilà la clef, tu ouvres, tu frappes et tu refermes. Ça te va, ma douce colombe ? »
Et comment que ça lui va. Le pauvre frangin perd encore connaissance. En riant, je gronde Sidonie qui se tortille comme une enfant ayant fait une gaffe. Je l’embrasse amoureusement, l’envoyant prendre sa pommade que je soigne son corps. Ce con, il me prive d’elle pendant au moins une semaine.
Je profite de son évanouissement pour le mettre sur le ventre sur ma table spéciale sodomie. Sidonie est prise d’un fou rire ne voyant son père ...