Moi, Pro-Fesseur, épisode 3
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Auteur: charime, Source: xHamster
... avec pour seul but de me servir et me subir.
Je profite de ma semaine pour faire un meilleur aménagement de mon temps. Je commence par gérer mes rendez-vous mieux, je réserve le vendredi pour recevoir jusqu’à deux clientes maximum. C’est assez pout me faire mon ménage. C’est aussi le seul jour durant Sidonie sera la gardienne et la peau de vache de ces soumises. Son jour de congé, si vous préférez. J’en profite aussi pour me renseigner sur de nouveaux outils de travail, plus vicieux et pervers. Dans mon courrier, je reçois régulièrement des catalogues, des demandes. Pour les demandes, il faut qu’une me quitte pour qu’une nouvelle vienne la remplacer. Oh, je peux bien me débarrasser de l’une ou l’autre, cependant, j’aime à mettre les formes. Ma grosse contrebasse, ma folle de province. C’était sa dernière fois, d’où cette séance spécialement douloureuse et humiliante. Elle part sous d’autres cieux, rejoindre son compagnon.
Ce matin, parmi les demandes, il en est une qui attire mon attention. Nue, elle ne manque pas de charme, mais c’est surtout ses piercings qui m’intéressent. Un, plus particulièrement, celui dans sa cloison nasale. Aussi, j’attends le retour de Sidonie pour la convoquer. Je sais déjà ce qu’elle recherche, être prise pour une méchante petite fille. 25 ans, petite, cheveux à la garçonne, je la vois déjà le crâne rasé, promenée en laisse dans les magasins et la rue. Et puis zut, je lui écris une réponse, disant mes exigences, mes attentes en fonction de ...
... ses demandes. Et hop, dans la boite de la poste. Un petit tour chez la frangine, zut, personne. Mais j’ai ma clef. Personne, un mot sur le frigo, je suis allé rejoindre Paul en Égypte. Tout ça me fait comprendre que je ne suis pas parti en vacances, des vraies depuis bien trop longtemps, deux ans je crois.
La semaine s’écoule, je ne suis jamais seul. Deux clientes par jours, mon appartement brille comme au premier jour, ma lessive est repassée, rangée. C’est Sidonie qui va être déçue. Pas grave, je pourrais mieux m’occuper de son poids. 72 kilos, je compte bien la faire fondre jusqu’à 50 et au plus vite. J’ai de quoi, vélo d’appartement, tapis, rameur, c’est en haut, dans mon petit fitness. Ben oui, elle n’a pas encore tout vu.
Samedi matin, un bref coup de sonnette, j’ouvre et me prends poing dans ma gueule. Merde, mon frangin ! Il n’a pas le temps de répéter l’opération qu’il s’étale sur le sol, mon pied sur ses couilles.
« Alors, on veut violer sa propre fille et tu viens me flâner chez moi parce qu’elle désire vivre avec moi, selon mes règles, pauvre con ! Ça ne t’as pas suffi de foutre ton ménage en l’air, la famille, tu aimes détruire autour de toi. Seulement, tu vois, ici, chez moi, ce n’est pas toi qui vas faire la loi. Ici c’est moi qui dicte mes règles. »
Il veut se relever, mon pied lui frappe le crâne, il perd connaissance. Je l’enferme dans ma cage la plus solide après l’avoir soigneusement menotté. Dans ma bagnole, je fonce chez lui. Dans sa cave, ...