6 - Le parking des Anges
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
ff,
hbi,
hplusag,
jeunes,
grossexe,
parking,
Oral
hdanus,
hsodo,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... faire, alternant les rythmes, gonflant son gros bout pour bien « frotter », un délice pour un cul sensible comme le mien. Sa queue me fouille avec puissance sans pour autant être brutale, et il accélère graduellement la cadence ; je m’aperçois chaque fois qu’il n’y a pas la brûlure d’un préservatif. Certes, il y a des risques, mais c’est de loin bien plus agréable, sans interférence avec les sensations. Son énorme queue va-et-vient librement dans mes reins, se frayant un passage malgré son « obésité ».
— Ce que tu me baises bien, viens plus fort, baise-moi bien à fond ! Mets-la-moi bien. Je te donne mon cul, prends-le, vide tes grosses burnes dans mon cul, j’ai envie de me sentir plein de ton foutre !
La situation est cocasse, mon excitation est à son comble, j’ai non seulement envie, mais véritablement besoin qu’il me baise, et de verbaliser cet acte, de me stimuler. Le ton est donné, il répond à mes appels tant par l’action qu’en parole. Pour jouer, il sort de temps en temps complètement son sexe, et me le replante… vertigineusement. Des ondes de frissons, accompagnées de vagues de chaleur, irradient tout mon corps lorsqu’il se propulse dans mon intimité.
Il me pénètre plus fermement que d’habitude, et même s’il me coupe le souffle lorsqu’il tape dans mon fondement, j’en veux encore plus. Mon anus est devenu plus souple, et son imposante batte de base-ball se loge aisément en moi, pour mon plus grand plaisir.
J’aime comme il me sodomise, comme il investit mon ...
... « petit », qu’il le fait grandir. Pour la première fois, je lui ordonne de « me casser le cul », de « me mettre ». Pat sent que j’en ai les capacités, et nous rentrons tous deux en transe. Ses mains tiennent fermement mes hanches alors qu’il me hurle dans les oreilles les mots que j’ai besoin d’entendre ce soir, sur ce parking :
— Tu l’aimes ma queue ? Tu aimes que je t’éclate ton petit cul serré ? Dis-le-moi ! Tu voulais que je te baise sur le capot ?
Ses bourses frappent les miennes lourdement, il me secoue maintenant très fort, nous sommes en rut, notre côté bestial pour la première fois prend le dessus.
— Ouii ! Oh ouiii ! Encore ! Baise-moi fort… j’en ai besoin.
Profitant qu’il sorte de mes fesses pour saliver son gland, je me dégage du jean qui entrave mes chevilles. Mon genou prend place sur le capot, le cul cambré, ouvert au maximum, je suis plus que jamais offert à mon sodomite.
— Putain de cul ! Tu sais m’exciter, toi. Tu aimes te faire casser le cul, hein ? T’en veux encore ? dit-il en se plantant de nouveau en moi.
Mes doigts étreignent le haut du capot pour ne pas glisser. Il me baise, ou plutôt, il me tire ! Je sais maintenant d’où sort cette expression. Ses mains tiennent mes hanches et il me tire les fesses contre son pubis. Avec un léger décalage, ses bourses arrivent contre les miennes, accompagnées du flap-flap caractéristique de mes fesses claquant son pubis.
— Patrick ! Ouiiiii ! Ooooohhhhh… je… je vais jouir !
Mon ventre explose ...