1. 6 - Le parking des Anges


    Datte: 18/10/2018, Catégories: ff, hbi, hplusag, jeunes, grossexe, parking, Oral hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    ... couchette, il dégrafe son pantalon et le baisse jusqu’aux genoux. Je décalotte son gland d’une main et prends sa bite encore molle en bouche en l’avalant jusqu’à ce que mon nez touche son pubis, et commence alors à le pomper avec de grands mouvements de tête, ce qui est assez facile avant que son mandrin ne bande complètement. Patrick adore être sucé, il m’encourage, me demandant de ne pas oublier de lui gober ses burnes.
    
    Comme nous baisons assez régulièrement, le bougre devient plus endurant, et tarde souvent à verser son dû, son abondant foutre. De plus, il sait que j’adore avaler ses si généreuses offrandes, et s’amuse volontiers à me frustrer.
    
    — C’est pour mieux te le faire apprécier la prochaine fois ! ricane-t-il souvent.
    
    Constatant qu’il ne jouissait pas après un bon quart d’heure de profond dévouement, je m’inquiète de savoir s’il apprécie ma caresse ! Sa réponse affirmative me rassure, mais en fait, il désire me prendre, il a trop envie de mon « si accueillant petit cul serré », là, et la situation l’excite énormément. L’endroit où nous nous trouvons est en retrait de la ville, assez sûr, aussi m’invite-t-il à sortir de la voiture pour jouer « sur le parking des Anges » !
    
    Une fois dehors, Patrick me présente de nouveau sa queue raide à sucer, me demandant de bien la lui mouiller et de commencer à dégrafer mon pantalon. Je suis impatient de le sentir plonger en moi. Rapidement, je baisse mon jean, je ne porte pas de slip ni de caleçon. Je trouve cela ...
    ... superflu, et puis je finis toujours à poil quand je sors le retrouver ! Je m’appuie contre l’aile, penché sur le capot, le cul tendu, prêt à le recevoir. À quelques dizaines de mètres de nous, des voitures passent, et le risque que quelqu’un débarque est stimulant, terriblement excitant. Écartant largement mes fesses afin d’introduire sa langue dans ma raie, il mouille copieusement ma rondelle avant de placer son gland turgescent au bord de mon anus, sans même prendre le temps de me « chauffer » comme il le fait d’habitude.
    
    — Tu m’excites grave, je vais te sauter ! Tu l’aimes, ma grosse queue, non ? Tu veux la sentir t’écarter les fesses, hein ? fait-il en laissant son nœud en place.
    — Tu sais me donner du plaisir, toi. J’adore ta queue. Viens ! l’implorais-je, impatient de le sentir prendre possession de la partie de mon ventre qui lui est dédiée.
    
    Alors qu’il me saisit aux hanches, je pousse fort pour lui permettre de plonger en moi. Mes mains écartent mes fesses un maximum, je retiens mon souffle, mon buste étalé sur son capot de voiture, la joue contre la tôle, un rictus déformant mon visage. En deux poussées, je n’en reviens pas, son pieu pourtant si gros est passé sans encombre ! Et je me surprends à lui intimer l’ordre de me limer, de me la mettre, de m’enculer, n’hésitant pas à le lui crier, d’ailleurs. Et c’est ce qu’il s’emploie à faire, d’abord assez modérément, venant bien au fond de mon trou à chaque fois.
    
    C’est un merveilleux enculeur, il sait très bien y ...
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