Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (6)
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... sodomiser.
Marie-C après son premier orgasme en voulait encore. Alors quand Paul lui caressa les fesses, le petit œillet en allant jusqu’à la vulve, elle n’en pouvait plus de se trémousser. Les parties génitales étaient à “vif” sous l’effet de l’excitation sexuelle, et chaque effleurement de doigts ou petite caresse la mettaient en transe !
Paul avait un petit pot de suif dans sa besace, pour graisser sommairement le fusil de chasse, qu’il ouvrit, s’en mit sur les doigts et passant sous le ventre de Marie-C en tartina généreusement chatte et cul. Puis se positionnant derrière elle, il la pénétra par le vagin, s’intéressa au petit œillet, qu’il assouplit avec ses doigts. Enfin forçant un peu avec son sexe, il entrouvrit le passage sacré et commença à limer par le cul une Marie-C qui découvrait avec une joie féroce les délices de la sodomie. La pauvre ne cessait de crier à gorge déployé son plaisir. Tandis qu’à 74 mètres, un sniper du 13° RDP se masturbait généreusement devant le spectacle érotique d’une petite bourge, canon , blonde et bien foutue, qui s’abandonnait dans la souillure la plus totale au plaisir de mâles bas de plafond et abrutis…
Et à 5 km de là, à vol d’oiseau, Jean-michel Desprin-lejan imitait le sniper, en découvrant le nouveau langage du corps de sa femme adorée !
Ainsi Marie-C se faisait enculer par un bouseux complètement inconnu et elle y prenait ...
... un plaisir intense. Arnest devant ce spectacle excitant recouvra une érection triomphante et voulut lui aussi reprofiter de la donzelle. Alors il se plaça devant la tête de Marie-C, lui prit le menton qu’il dirigea vers son sexe. Celle-ci éperdue de jouissance, que lui donnait la vigoureuse sodomie de Paul, n’en comprit pas moins le message et ouvrant la bouche, engloutit la verge pour la seconde fois…
Toujours en levrette, et maintenant son équilibre sur sa main gauche , elle masturbait en même temps qu’elle le suçait Arnest. Celui-ci, un grand sourire aux lèvres regardait goguenard Paul, qui se lâchait dans la cul de la petite bourge :
"Alors mon gros, j’te l’avions point dit qu’la p’tite c’était de la dynamite ! C’aurait été trop con de pas en profiter, non ? On est pas bien comme ça tous les trois ? T’inquiète après on va la ramener au village !
-Cela aurait été beaucoup mieux pour tout le monde, de l’avoir fait directement ! “
Arnest et Paul, surpris par cette voix féminine, regardèrent autour d’eux et ils virent une silhouette vêtue d’une cape noire à large capuche, qui lui dissimulait le visage.
Autour d’eux, une dizaine d’hommes en armes, fusils de chasse et armes de la seconde guerre mondiale, avaient le visage grave et les braquaient…
“ Ah ! Pensa Jean-marie Desprin-Lejan, qui visionnait la scène en direct, là ça va devenir diaboliquement intéressant !”