Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie ! (6)
Datte: 18/10/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
Jean-michel Desprin-lejan se félicitait d’abord d’avoir remis sur le droit chemin ce petit con de militaire, et ensuite de lui avoir ordonné de laisser sa femme se démerder avec les deux bouseux...car le résultat était au delà de ses espérances. Décidément sa petite Marie-C avait de la ressource!
Après s’être laissée débarrasser de ces hameçons, Marie-C, grisée par la gnôle et par sa nouvelle condition de femme libérée de la moralité contraignante de sa classe sociale, se laissait aller à toute les perversions. Elle avait très vite caressé l’entrejambe des deux “puants”, alors qu’elle était assise nue, entre eux deux debout. Évidemment les deux s’étaient laissés faire, alors qu’ils s’intéressaient de façon minutieuse au corps splendide de la jeune femme ! Tandis qu’elle se laissait peloter les seins par les mains crasseuses et calleuses, Marie-C aventurait les siennes dans les braguettes. Et comme ils ne portaient pas de slip, elle eut bientôt dans ses mains innocentes deux belles bites en turgescence. Marie-C qui jusque là ne s’était pas vraiment intéressée à l’anatomie masculine, en était étonnée. Les sexes étaient durs comme du bois et plutôt longs et épais. En tout cas plus que son cher mari, qui devait se morfondre au même moment dans sa tour de verre du quartier des affaires de la Défense à Paris, ou son équivalent au Luxembourg. Marie -C était simplement surprise de son audace. Elle commençait à caresser les deux phallus vigoureux, et elle sentait son sexe ...
... s’épanouir en une corolle de désir. Alors, se souvenant des scènes volées, alors qu’elle espionnait son frère, toujours amateur de vidéos pornographiques visionnées sur son ordi, elle décalotta les deux prépuces, et timidement approcha sa bouche de l’un deux. L’odeur en était âcre et pas très réjouissante. Néanmoins cela semblait encore augmenter la lueur lubrique que Marie-c avait dans le regard. Arnest s’en aperçut :
“ Hé ben dis donc ma salope, t’es pas la petite bourge mijaurée qu’on aurait pu croire. Tu aimes ça la bite ?
-Oui monsieur, je suis un peu maladroite mais j’aime ça, surtout les vôtres ,
-Alors suce les de ton mieux ma belle, après on t’honorera comme il le faut . On va t’beurrer le mille feuille et t’ramoner l’arrière train. Tu vas voir comme on va t’faire gueuler p’tite chienne ! “
Pour toute réponse , Marie-C emboucha le gland d’Arnest. Il y avait une odeur d’urine et de sueur, mais cela ne la gênait plus du tout. Marie-C se concentrait sur les sensations de sa bouche et de sa langue. Elle sentait le gland doux, gros, arrondi qui pulsait dans sa bouche. Cette sensation l’étonna beaucoup, et alors que sa langue s’enroulait autour pour le découvrir, elle commença un mouvement de va et vient avec sa main, sortant presque le sexe de sa cavité buccale pour le rentrer tout de suite après… oui il lui semblait que c’était comme ça que les pétasses des vidéos de son frère donnaient du plaisir aux hommes. Timidement, alors que le membre effectuait son chemin entre ...