1. Étudiante dans le pétrin aime se faire pétrir


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Amaryllis, Source: Hds

    ... contrôle sur la situation.
    
    Il y a du mouvement dans la foule qui m’entoure et je commence à prendre un peu peur. Mais ils sont de plus en plus insistants, les pervers autour de moi, je sens des salves crémeuses s’écraser contre mes cuisses. Leurs doigts s’excitent, s’agitent, deux s’infiltrent dans mon petit cul serré et je serre les dents pour ne pas crier. J’entends des murmures autour de moi. Les hommes m’insultent grassement, font des commentaires sur mon intimité. Emportée par l’adrénaline, le jus d’amour maculant mes cuisses, je soupire et réponds à leurs mots d’une voix extasiée. Oui. C’est moi. Je suis une salope. Baisez-moi. Cela semble les exciter et ils accélèrent d’un coup la cadence.
    
    En moins d’une minute, ma jupe a disparu et je suis à genoux, un membre épais enfoncé dans la bouche. Il semblerait que sur le quai, plus d’hommes que je n’en avais perçu aient vu mon intimité. J’ai du mal à me concentrer sur le nombre de queues qui m’entourent, mais lorsque je relève le regard, je croise celui, lubrique, de mon ancien camarade, qui braque l’objectif sur moi et me murmure un petit « Suce, salope » entre deux va-et-viens de son poignet. J’apprécie mon nouveau rôle et, l’insulte m’excitant malgré moi, je m’exécute rapidement. Le pire, c’est qu’il avait raison. J’étais venue de mon plein gré dans ce métro, dans une tenue plus qu’aguicheuse. J’aurais été terriblement déçue si rien n’était arrivé.
    
    Autour, les autres passant semblent avoir un peu remarqué le ...
    ... manège, plus d’hommes m’entourent et des femmes descendent vivement, probablement par dégoût ou peur de subir mon sort. Moi ? Je ne ressens pas la peur, trop excitée par la dopamine qui se déverse dans mon sang à grands tonneaux. Je me laisse complètement aller à soupirer et gémir de plaisir, à les encourager en ondulant. Et d’un coup, on m’attrape à nouveau et je sens une vive douleur. Marc vient de glisser son membre épais dans mon cul. Un cri m’échappe, un cri qui déclenche l’hilarité des autres hommes. Maculé de sueur, mon haut blanc est devenu inutile et ils me le retirent comme ils m’ont retiré ma jupe.
    
    Je jouis une première fois, les hommes applaudissent. Ils continuent de pincer, caresser, tripoter mon corps, alors même que mon ancien camarade de classe m’encule à grands coups de bassin. « J’ai toujours su que t’étais une putain de salope, traînée ! On va te baiser jusqu’à ce que tu puisses plus marcher, sale pute ! » hurle-t-il dans le wagon, par dessus mes cris. Encore on me manipule et c’est cette fois un homme qui pourrait être mon père qui s’approche, pour glisser son chibre dans mon intimité ruisselante. Il éjacule rapidement dans mon ventre, puis tous se succèdent. Emportée dans une frénésie lubrique, je me laisse faire comme une poupée de chiffon.
    
    C’est au terminus que je reprend mes esprits. Tout le monde est parti, ou presque. Il ne reste que Marc, qui me regarde avec un grand sourire, son portable dans la main et mes pauvres vêtements trempés de sueur et ...