1. Étudiante dans le pétrin aime se faire pétrir


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Amaryllis, Source: Hds

    Journée de mai, début d'été, mes pas se succèdent l'un après l'autre sur le goudron. J'arrive à ma destination, enfin, je gagne la station de métro. Sourire de sphinx sur mes lèvres ourlées de rouge, lorsque je repère déjà un regard sur mon allure. Il faut dire qu'il est dur de ne pas remarquer ces petits détails sur moi. Mes cheveux châtains clairs encadrent mon visage en forme de cœur et tombent, bouclés, jusque sous ma nuque. Mes yeux couleur noisette pétillent de malice. Mais surtout, on remarque ce débardeur que je porte, top moulant à la teinte immaculée que mon bonnet C étire, petit haut qui souligne mes tétons libres de tous sous-vêtements. Tous, oui, car il n'y a point de dentelle ni de coton sous la jupe que je porte.
    
    C'est une jupe aux allures de coquelicot, courte, légère et écarlate, qui dévoilerait beaucoup de mes jambes pâles si ces dernières n'étaient pas moulées par une paire de hautes chaussettes noires. Ma taille est fine, je suis frêle et menue, air de gamine avec mes Converses vermillon. C'est risqué, c'est vrai, de faire ceci en allant à l'Université, mais l'ardeur bouillonne depuis trop longtemps dans ma chair. Je m'engouffre sur le quai, où l'on peut déjà voir des employés de bureau se rendre au travail, avec leurs costumes bien repassés, leurs vies lisses, calmes et normales. Parmi tous ces hommes, aux quotidiens si sages, je sais que nombreux ont remarqué à quel point j'étais aguichante, lorsque le métro est arrivé et que je n'ai pas empêché ...
    ... son passage de soulever ma jupe.
    
    Je le sais, car lorsque je me glisse dans train, il ne s’écoule pas plus de cinq minutes avant que je ne sente l’un d’entre eux se blottir contre moi. Sa main taquine vient caresser ma cuisse du bout des doigts, comme s’il s’agissait d’un accident. Je ne pensais pas qu’ils m’attaqueraient aussi vite, ces hommes ennuyeux, mais c’est une bonne surprise de sentir aussi vite le nectar maculer mes pétales. Mon cœur bat la chamade, souffle court lorsque cet inconnu glisse son index sous ma jupe, j’ai l’insolence d’écarter un peu plus les cuisses et je l’entends, amusé, qui rit contre ma nuque. Il recule un instant, murmure quelque chose qui m’est inaudible à l’individu à côté de lui, celui qui rapidement se glisse devant moi après avoir murmuré à son tour.
    
    Le bouche à oreille attire deux nouvelles paires de mains, une qui s’attarde sur mes cuisses et une qui vient tirer mon petit débardeur vers le bas pour me exposer ma poitrine. L’inattendu m’excite terriblement, je me laisse faire avec un léger soupir d’extase qui déclenche l’amusement de mes amants du jour et d’un public que je n’avais pas remarqué auparavant. En effet, pour me garder hors de la vue du commun des mortels, des hommes m’ont encerclé. Je reconnais parmi eux Marc, un ancien camarade qui a été dans ma classe pendant trois ans au lycée, une main occupée à astiquer son membre et l’autre tenant un portable braqué sur moi. C’est à ce moment là que je me rends compte de mon peu de ...
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