1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (9)


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... j’eus à faire ce fut de mettre les onze couverts dans la salle à manger, ce qui ne fut pas très compliqué, elle peut en contenir quatre fois plus, sans se serrer. La vie de château n’a pas que des inconvénients.
    
    Il y avait naturellement, pour la noce, tenue de rigueur, un dress code strict auquel personne ne devait songer à déroger.
    
    Les hommes, donc, devaient porter un nœud papillon noir et des chaussures vernies avec chaussettes noires (rouge pour mon mari, noblesse oblige). Le nœud papillon de mon mari était rouge aussi. Le maire, en plus, portait son écharpe. On aurait dit une miss France, très masculine et franchement virile. Ça sentait la bête de sexe.
    
    Ils n’avaient aucun autre vêtement. Ils étaient entièrement nus.
    
    L’avant-veille, le vieux curé avait tenu à me confesser et je lui avais avoué mes péchés, y compris ceux à venir ; il avait fulminé me promettant damnation pour tant de stupre, mais cela l’avait excité à tel point qu’il m’avait donné l’absolution à grands coups de goupillon à sperme, et j’avais profité de l’avantage pour obtenir de lui qu’il célébrât entièrement nu. Il voulut bien y consentir pourvu qu’il pût mettre ses souliers et son étole et que je lui garantisse qu’il me ferait à nouveau expier à grands coups de tringle.
    
    Anne-Sophie, escarpins à talons hauts, portait une élégante capeline noire à bandeau crème avec porte-jarretelles assorti, sans rien de plus. La pièce de linge faisait ressortir sa touffe très soignée, superbement ...
    ... entretenue.
    
    Tout le monde était assis dans la chapelle. Mon mari m’attendait sur son fauteuil, le notaire à sa gauche, et Anne-Sophie se tenait à droite près de mon fauteuil.
    
    C’est le maire qui me conduisit à l’autel.
    
    Tout le monde se leva à mon entrée. Le curé et mon mari face à moi et les autres légèrement de dos. Et c’était beau de voir tous ces dos musclés et ses fesses rebondies. En jetant un œil sur le côté on voyait toutes ces touffes masculines et ça triquait déjà pas mal. Le gland du vieux curé, à peine décalotté, dépassait des deux pans très longs de l’étole qui se resserrait au-dessus de son pubis couvert de poils gris.
    
    Je portais un voile blanc, bien sûr, un porte-jarretelles du même, des bas et chaussures assortis.
    
    Je m’étais passé les tétons aux glaçons juste avant pour bien les darder. J’avançais fièrement, le torse bombé pour bien mettre mes appâts en valeur. Je m’étais savamment rasé la touffe pour lui donner une belle forme symétrique.
    
    La cérémonie fut courte, le temps de lire deux textes, d’entendre le curé répéter que les époux se devaient fidélité et que c’était beau de voir en nous un couple aussi uni et ouvert, puis il y eut échange des consentements, bénédiction et fin.
    
    Quand tout fut fini, le curé dit :
    
    — Vous pouvez embrasser la mariée... et me baiser ces deux putes, ces deux chiennes lubriques et provoqueuses (sic) !
    
    Mais, même au printemps, la chapelle est un peu fraîche. Nous nous retirâmes donc dans le salon.
    
    Nos amis firent ...
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