1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (9)


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Le problème venait de son ex-femme. Stefan avait été marié quelque temps avec une Anglaise... un jour en fait. Lors de sa nuit de noces il avait invité le témoin (un type à la carrure de gymnaste soviétique, appelé Vladimir) à se joindre à la fête, ce qui n’avait pas été du tout du goût de la nouvelle comtesse qui s’était enfermée dans sa chambre et que son mari n’avait donc jamais pu baiser, autrement qu’avant leur mariage. Elle avait aussitôt voulu divorcer d’un tel débauché. Mon mari n’avait pas répugné à se séparer de cette femme aux formes, certes avantageuses, mais si coincée du cul. Il s’était bien juré de ne point reconvoler sauf à trouver une femme qui partagerait la même conception de la vie de couple que lui, basée sur une absence de fidélité totale et une très large ouverture d’esprit et de cuisses... et un physique à faire bander un pape ou un cimetière. A ce qu’il parait, j’avais le profil.
    
    Le divorce avait été prononcé en France mais pas en Angleterre. Mon mari n’était donc pas célibataire et, la polygamie étant officiellement interdite de ce côté-ci de la Manche, il lui fallait se défaire de la donzelle.
    
    Elle ne le fit pas trop chier pour divorcer selon la loi britannique mais cela prit néanmoins du temps.
    
    Maître Joffrey Laver-Jambois, notre dévoué notaire, venait régulièrement nous donner des nouvelles ce qui lui permettait de me foutre un petit coup de pine en passant. Il nous présenta aussi mon futur témoin, son frère Patrick à la queue très ...
    ... énergique. Un gland bien rond, très épais, scella notre présentation d’un degré d’intimité tel qu’il convient quand on se rend un service pareil. Il aimait le cul, l’animal, plus que son frère qui baisait trop sagement mais qui, rencontres après rencontres, devenait plus sûr de lui et s’aguerrissait.
    
    C’est justement, lors d’une de ces réunions au château que, m’ayant sautée avec un peu plus de résistance que d’habitude et ayant pris du retard sur un prochain rendez-vous, il s’élança rapidement sur les degrés du grand perron, sur lesquels le gel avait encore laissé quelques traces, y glissa et s’y cassa la jambe. J’allais donc lui rentre visite, lui suçait la bite avec beaucoup d’application pour lui dire combien j’étais désolé, ce qui lui fit dire que, pour une pipe comme ça, on se casserait bien la gueule tous les jours, puis, il s’en fut en centre de rééducation pendant quelque temps.
    
    Quand il revint en février, il nous fit une visite et m’ayant sodomisée pendant que mon mari m’enconnait, il nous fit part de la proposition suivante.
    
    — Si Monsieur et Madame me permettent, j’ai rencontré pendant ma convalescence, un jeune agriculteur remarquablement membré...
    
    — Amenez-le-nous cher maître.
    
    — J’y ai bien pensé Monsieur le Comte mais j’ai peur qu’il nous surclasse. Peut-être plus tard... Pour lors c’est sa voisine qui m’intéresse.
    
    — Sa voisine ? vous m’intriguez maître.
    
    — Oui, il m’a récemment invité à la partouzer avec son mari, un homme très comme il faut, ...
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