1. Lady Alexya - la promenade


    Datte: 17/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Axelya, Source: xHamster

    ... préparation, enfonce sa bite entière d’un coup. Mon esclave pousse un grand cri tant de douleur que de surprise d’être possédé aussi vite. L’échalas profite de la bouche ouverte pour y loger sa queue.
    
    Ainsi mon soumis est-il pris par deux hommes, un dans son cul, l’autre entre ses lèvres, pendant que deux autres se branlent frénétiquement en les regardant.
    
    Le gars costaud encule mon esclave sans ménagement, lui donnant de grandes claques sur les fesses. Il se tourne vers moi :
    
    - Elle est bonne, ta salope, j’apprécie son cul, serré comme je les aime. Si tu veux perfectionner son éducation, tu peux me la confier sans souci, je veillerai à ce qu’elle soit bien obéissante et que son anus ne se referme jamais.
    
    Un mince filet de liquide séminal, brillant sous la lumière des phares, s’écoule de la queue de mon familier. Il ne ressent plus la douleur, juste un sentiment de soumission totale, l’idée au plus haut point excitante d’être livré comme un vulgaire objet aux plus bas instincts d’hommes virils et sauvages, sous les yeux de sa Maîtresse qui, il en est certain, rit de sa déchéance et de son humiliation.
    
    - Les gars, je vais cracher la purée ! hurle le mastodonte.
    
    Aussitôt il se retire et expulse de puissants traits de sperme sur les reins de mon esclave. Les voyeurs ne se retiennent plus et ils éjaculent également, répandant leurs semences sur le dos du soumis. Reste l’échalas qui arrose, en émettant d’étranges cris de souris, la bouche qu’il vient de baiser. Des gouttes giclent sur le masque. Il les éponge d’un doigt qu’il fait ensuite sucer à mon familier.
    
    Les hommes sont partis. Ils se sont fondus dans l’obscurité, aussi vite qu’ils étaient venus. Reste mon esclave, toujours à quatre pattes, tremblant, couvert de sperme.
    
    Je me penche vers lui, rattache la chaîne à son collier.
    
    - Debout, lui dis-je. Nous rentrons à la maison. Toi tu rentres dans le coffre, je n’ai pas envie de salir la banquette arrière !
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