1. Lady Alexya - la promenade


    Datte: 17/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Axelya, Source: xHamster

    Lady Alexya – la promenade de mon esclave en laisse.
    
    Je suis une femme qui a ses petites habitudes. Parmi ces manies, la promenade de mon familier figure en bonne place. Le rituel débute le samedi soir, un peu avant vingt-trois heures. Mon esclave doit être nu, à l’exception d’un collier de chien autour du cou. Il est entièrement épilé, sexe compris.
    
    Pour ma part, je porte un peignoir de satin rose clair. Nous sommes dans la salle de bain au sol parqueté de teck. Quatre grosses bougies parfumées à la mandarine constituent le seul éclairage de la pièce. Au milieu une grande baignoire îlot blanche que le soumis a pris soin de remplir d’eau chaude. La température doit être parfaite.
    
    Le peignoir tombe à mes pieds. J’entre dans le bain. Mon esclave passe une large éponge enduite de savon d’Alep sur mon corps, avec l’interdiction absolue que sa peau entre en contact avec la mienne. Dans un complet silence, il attend à genoux que je me détende. Quand j’en ai assez et que je sors de l’eau, il m’essuie des pieds à la tête avec une grande serviette-éponge.
    
    Dans le salon, je m’assieds sur un pouf en X à col de cygne. Mon soumis apporte une flûte de champagne rosé. Le vin est très frais. Les bulles chatouillent agréablement mon palais. J’ordonne : « va chercher le corset noir et le string en cuir ! » Je pose le verre vide sur une tablette. Après que j’ai revêtu ma tenue, l’esclave serre les lacets dans mon dos. Il s’agenouille devant moi. Interdiction de porter le regard vers ...
    ... le haut. Les bas nécessitent une attention particulière. L’esclave les déroule de mes pieds jusques en haut des cuisses. Ses mains tremblent quand elles approchent de mon entrejambe. Il accroche les bas au porte-jarretelles. Sa fébrilité, son hésitation, lui occasionnent un regard noir. « Pardon Maîtresse » murmure-t-il.
    
    Il va chercher mes bottes et me chausse. Là encore, il s’attelle au laçage, manipulant les ferrets pour enserrer ces pieds qu’il vénère.
    
    J’accroche un martinet à ma ceinture. Il ne me reste plus qu’à couvrir mes épaules d’une cape et nous sommes prêts à sortir.
    
    J’attache une laisse, poignée souple, chaîne et mousqueton en métal, au collier de l’esclave et je couvre son visage d’une cagoule noire en cuir. Elle comporte cinq orifices pour les yeux, les narines et la bouche. Je verrouille la fermeture-éclair à l’arrière. Pas de bâillon, nous aurons l’usage de sa langue et de ses lèvres. Parfois, il porte une ceinture de chasteté depuis plusieurs jours. Dans ce cas il frétille à l’idée de sortir, comme une bête lubrique. Nous descendons dans le garage de la villa. Je le fais monter dans le coffre de la voiture. « Sois propre et sage » lui dis-je. Nous roulons ensuite, à un rythme lent, en direction du bois des branleurs.
    
    Quand l’esclave sort de la voiture, il doit se tenir à quatre pattes, en évitant de s’écorcher les genoux.
    
    Je saisis la boucle en cuir de la laisse et mène le soumis jusqu’au pied d’un grand chêne. Je lui avais interdit d’uriner à ...
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