Trouver chaussure à son pied
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: Laetitia sapho, Source: Hds
... mette à fouiller sous ma jupe, la voilà qui se saisit de mon pied droit, resté sans chaussure. Elle le lève, passe sa langue pour lécher mon mollet, descend vers la cheville, qu’elle embrasse, et englouti mes cinq orteils, qu’elle suce à travers mon collant.
La situation est d’un érotisme plus que torride. Cette belle femme accroupie devant moi, me mange et me lèche le pied, pendant que je la branle du bout d’un escarpin au talon démesuré. Toutes les recettes du fétichisme du pied étaient rassemblées. Et on peut dire que la mayonnaise montait et montait bien même.
L’auréole sur sa culotte s’est agrandit, c’est manifeste. Elle pousse de petits râlements étouffés par mes orteils dans sa bouche, qu’elle continue de sucer allégrement.
Moi j’ai surtout envie de mettre ma langue à la place du bout de mon pied, mais à priori, elle fantasme sur les pieds. Normal pour une marchande de chaussures, me direz-vous !
Je reste sur ma faim quand même. Même si c’est excitant, moi je n’ai que dalle. Me lécher les pieds, c’est bien, mais j’ai aussi un sexe ! Et là, il dégouline. Je remonte donc ma jupe et glisse ma main entre mes jambes pour me soulager. De l’autre main, j’agrippe un de mes seins que je malaxe à travers mon pull en laine.
Je m’active en cadence, mon pied entre ses jambes, ma main entre les miennes. L’orgasme, je le sens monter très rapidement. Faut dire, j’étais tellement excitée par la situation, qu’il a juste fallut que je me touche deux minutes. J’étais mure. ...
... Elle aussi était à point. Dans ma tête, la petite angelote et son auréole, après un combat acharné, s’est retrouvée immobilisée au sol par la petite diablesse, qui a soulevé sa robe blanche. La diablesse rouge fait un cuni à l’angelote. L’angelote a perdu la partie une fois de plus, et c’est laissée aller au stupre, les jambes écartées.
On est venues quasiment en même temps et quasiment silencieuse, elle et moi (et l’angelote aussi d’ailleurs). Juste le temps de reprendre nos esprits :
- Bon, je vais prendre les rouges finalement, dis-je en me redressant (l’angelote ne s’étant pas encore remise de son orgasme).
- Je vous les emballe, dit-elle en se redressant et en se réajustant.
Nous nous sommes levées et dirigées vers le comptoir. Je lui tends ma carte bancaire :
- Merci, euh, Laetitia, me dit-elle en regardant mon nom dessus.
- De rien. Ah au fait … Vous c’est comment ?
- Patricia,
- D’accord Patricia … eh bien …
- Oui ?
- Je suis à l’hôtel sur la place juste derrière pour la nuit. Si vous pouvez me rejoindre dans ma chambre … nous pourrions …
- Ça va être un peu compliqué. Voyez-vous Laetitia, nous sommes dans une petite ville et je suis connue ici. Imaginez, si je me pointe à l’hôtel, que je demande la chambre d’une jeune femme, que j’y passe la nuit … Ça ferait le tour de la ville en moins de 24 heures ! Ma réputation en prendrait un sacré coup. Je suis une sorte de … Comment dire ? Notable ici ! Même si je suis veuve depuis une dizaine ...