Banquière perverse (6)
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... content de la voir ici ; elle me plait de plus en plus avec son air coquin.
— Et ton copain et ton appart ?
— Mon copain ? Jamais revu. Mon appart ? Rendu ; comme le tiens d’ailleurs. Demain nous sortons toute la journée, c’est cool, non ? Je t’expliquerai ça demain.
— J’n’ai pas une fringue à me mettre.
— T’inquiète, mange.
Cette charcuterie est un pur délice, le corps nu de Gladice ne fait qu’amplifier mon bonheur. Plus je la regarde et plus je la trouve désirable, elle me touche beaucoup et m’envoute aussi.
Je pense qu’un jour je lui ferai l’amour, mais cette fois ce sera avec délicatesse et beaucoup de tendresse comme elle me l’a suggéré l’autre jour.
Nous mangeons, le vin aidant, nous plaisantons et rions de bon cœur en caricaturant notre patronne et sa fille. Petit à petit je me dévoile aussi ; elle m’écoute avec un regard tendre et affectueux. Je lui raconte ma vie, le bled, la guerre, ma venue en France, le boulot que je n’ai plus, les problèmes d’argent, la convocation de Madame et aussi les fringues qu’elle m’a piqué.
— Tu sais, toi à poil en permanence, j’aime bien.
Madame sonne, Gladice va voir ce que Madame veut ; puis elle revient :
— Madame n’a plus besoin de nous ! …Tu veux une tisane avant d’aller se coucher ? Me propose-t-elle.
Ces yeux brillent sournoisement, elle prépare la tisane que nous sirotons doucement tout en parlant encore de nous.
La chaleur de la tisane m’envahit, quelques bouts de feuilles tournent au fond de ...
... ma tasse. Je me sens bien, calme et en pleine forme ; sans un mot, elle me regarde, elle m’intimide. Les feuilles ne tournent plus, j’ai bu toute ma tisane ; Gladice aussi. Elle déploie sont corps, sa minette, curieuse, provocante, arrive juste au ras de la table dévoilant son "thigh gap" si parfait. Et quelle taille fine ! Elle est en X, comme le disent si bien les spécialistes. La lumière électrique passe entre ses jambes et le contre-jour me laisse deviner un petit bouton, là, bien placé au milieu de son entrejambe. Quel joli spectacle ! Et je ne suis pas le seul à apprécier ; mon copain de toujours aussi. Une douce érection se fait sentir et un espoir de me voir caresser ce corps parfait se profile à l’horizon, mais hélas mon statut de domestique me réduit à coucher sur ce lit dur et inconfortable.
— Tu viens, je vais me coucher, me dit-elle.
Elle me tend la main et je la suis vers les chambres ; sa croupe, son déhanché, quel merveille ! Comment dit-on déjà : « Elle a un cul à faire bander tout un régiment…c’est ça n’est-ce pas ? »
Nous sommes arrivés devant la porte de ma chambre.
— Je vais prendre une douche et je vais dormir ; cette journée m’a épuisée. Tu vois je n’ai même pas le courage de te faire ta douche habituelle ; allez, bonne nuit.
— Bonne nuit, à demain.
Pas un bisou, rien ; déçu je pénètre dans ma chambre où une belle surprise m’attend. Il y a un matelas sur mon lit ! Madame aurait-elle eu pitié de moi ? Je fais mon lit et je me couche ; ...