La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1107)
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... continue tandis qu’il enfonçait sa main lentement…
A nouveau cette impression d’être remplie totalement, le ressenti d’une main entière forçant mon trou du cul, tandis que ma chatte continuait à recevoir les à-coups du bras droit… Je me détendis entièrement et dans une dernière poussée, sa main entra entièrement en moi, mon anus se refermant sur son poignet…
- Ahhhh criais-je de plaisirs comme une bête enculée bestialement… Ahhhh ! Mes tremblements spasmodiques de plus en plus vifs aidaient Roger dans ses enfoncements…. Hummm ! Ouiiiiii !
Les yeux entièrement fermés, toute à mes ressentis de femelle animale lubrique en rut, je me laissais empaler, mieux encore, j’aidais Roger qui maintenant enfonçait son bras gauche par derrière. Deux pistons maintenant me ramonaient en cadence, celui de derrière enfoncé plus profondément que celui de devant, pratiquement au coude, j’explosais en une myriade de feulements bestiaux, de cris rauques de tigresse possédée par mille mâles en même temps… Un long travail de Roger maintenant posé sur ses genoux, m’expédia loin, très loin dans des découvertes orgasmiques totalement inconnues jusque-là de ma sexualité, me faisant pisser sur son bras droit sans aucune pudeur, mieux encore, par plaisirs, j’abandonnais ma condition humaine pour devenir une bête de sexe assoiffée de sensations orgasmiques majeures.
Tout en me travaillant la totalité du ventre, devant et derrière, Roger se baissa légèrement et attrapa entre ses dents mon téton ...
... droit, le mordit cruellement, ce qui me fit hurler de douleurs si bonnes qu’immédiatement je jouissais à nouveau en même temps du cul et de la chatte dans des cris de jouissance d’une intensité telle qu’on avait dû m’entendre à mille lieux ! … En effet, je poussais des hurlements de jouissances absolues, démoniaques, comme possédée par le démon du rut en personne. Tout mon corps vibrait à l’unisson d’innombrables orgasmes d’une violence exceptionnelle et qui se déversaient maintenant, les uns après les autres dans toutes les parties de mon corps. Plus aucune parcelle de celui-ci qui ne vibrât pas, j’étai en trans orgasmique. Roger mâchait mon téton, l’aspirait, le suçais, l’étirait, tandis que ses deux bras, maintenant bien enfoncés en moi, celui de derrière bien plus que l’autre, travaillaient en cadence, se touchant à l’intérieur au travers de mes membranes, tout explosait en moi, tout était atomisé, et c’est dans un mot, un seul que je dis à Roger…
- Je vous aime Monsieur… mer… mer… ohhhh ! … merci Monsieur Roger.
Je m’abandonnais entièrement aux mouvements de Roger qui m’abreuvait de sensations incontrôlables, insensées, je n’étais plus moi-même, définitivement plus moi-même admettant mon état nouveau de femelle animale obsédée de cul…
- Tu aimes ce que je te fais ! me dit Roger
- Oh Oui Monsieur, répondis entre deux souffles, le visage rouge et trempé de sueurs…
- Décidément, toi, tu vaux le coup à coup sûr… Tu es une bonne chienne en chaleurs bonne pour le ...