1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1107)


    Datte: 16/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) –
    
    … il vit de la cyprine commencer à couler lentement…
    
    - Non de dieu, dit-il, ça t’excite ? (Il se pencha carrément entre mes cuisses) - Mais tu bandes en plus ?
    
    Mon clito, mon cher ami le clitoris, était dressé fièrement !… Du bout de sa cravache, il le tapotait et je fermais les yeux de plaisir en émettant de divins gémissements…
    
    - Tu aimes quand je te touche comme ça, ici ? me demanda-t-il ?
    
    - (Doucement) Hummm ! Ouiiiii Monsieur.
    
    - Ah ça alors ! Les femelles, je ne comprendrai jamais rien !
    
    Alors, il commença par de petits coups sur le nez clitoridien, puis entendant mes :
    
    - Ahhh, puis Ohhh hummm ! Ouiiiiii !
    
    Il poursuivait, avec, de temps en temps, un coup très fort sur l’intérieur d’un sein, revenant tout de suite après sur mon clitoris chéri… Et je mouillais de plus en plus libérant des paquets de cyprine qui tombaient sur le tapis clouté… Alors, il s’agenouilla entre mes cuisses, et me planta quatre doigts, sans préambule, dans la chatte, remontant très haut en ma vulve. Très vite, ses doigts s’agitant dans ma chatte, me faisaient accepter mes souffrances physiques, ce qui, pour la seconde fois me troubla vraiment. Je souffrais physiquement et pourtant les excitations transformaient mes souffrances en plaisirs me les faisant non seulement les occulter mais les acceptant comme la condition de mes jouissances fulgurantes. ...
    ... Sous ses doigts puissants, je me découvrais heure après heure… En fait, ses mains étaient si fortes qu’elles estompaient au début puis annihilaient ensuite entièrement les douleurs, comme les anesthésiant, les transformant en divins plaisirs ! Malgré ma pose très inconfortable et les coups reçus qui boursoufflaient mes seins et le reste de mon corps, les divins doigts de Roger, bien enfoncés en mon intimité me faisaient un bien fou…
    
    Je me mettais même à aimer cet homme bourru mais si efficace qui me faisait découvrir de nouvelles choses en ma libido. Tandis qu’il me travaillait violemment, je tentais de l’aider en écartant encore plus mes cuisses, mais mes pieds fichés sur les pointes me faisaient souffrir de plus en plus. Il ne pouvait m’enlever de la sentence du Maître mais, sa main fichée en moi ressortit doucement et il y ajouta son pouce, comme la nuit précédente. Quand je compris ce qu’il allait faire, ce fut pour moi comme une décharge électrique me souvenant de la nuit précédente. Effectivement, il tentait d’introduire à nouveau sa main puissante en ma vulve écartée, béante, offerte qui s’apprêtait, pour la deuxième fois consécutive à être aussi distendue… Lentement mais avec force, il poussait, poussait, et je m’ouvrais, m’ouvrais jusqu’au moment où j’attendais que sa main glissa enfin en ma profonde intimité. Oh sensation divine de comblement absolu ! Sentir cette main puissante entièrement en mon corps, se refermant ensuite formant un pieu terrible qui allait ...
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