1. Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (1)


    Datte: 07/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: Inavouable69, Source: Xstory

    ... bite était dure et dressée. Elle n’était pas gigantesque mais assez large, avec un gland bien dessiné qui prolongeait une verge à la courbure parfaite. Je n’aurais pas échangé ma queue pour une plus grosse mais moins jolie. Candice parut s’en satisfaire, en tout cas, s’en saisit et commença à me branler, puis déposa un baiser sur mon gland, pressa la hampe, fair sortir la petite goutte de precum au bout du méat et le suça. Puis, elle me renvoya à mon appareil photo. « Au travail ! « lança t’elle joyeusement. Je reposai la caméra et repris le réflex. A partir de ce moment, je me branlai doucement entre les photos, en faisant attention de ne pas me faire jouir. Je me demandais si malgré mon expérience nettement plus fournie - en tout cas en durée - j’aurai quelque chose à apprendre à cette petite salope si menue mais tellement délurée.
    
    Elle enleva le reste de ses vêtements pour ne conserver que ses bottines de chausse. Elle disposa sur le canapé un grand plaid clair, signe qu’elle anticipait quelques menus débordements. Puis elle se livra à une démonstration endiablée de tout ce qu’on peut faire avec certains objets et les orifices féminins. Le gode gros comme une canette disparut dans la chatte de Candice comme avalé par le gouffre de Padirac, elle avait la capacité de le faire aller et venir comme si c’était un tube de rouge à lèvres. Elle se l’enfonçait au fond du vagin, puis, sans les mains, l’éjectai d’une poussée qui lui écartait aussi le trou du cul. De mon côté, je ...
    ... ne perdais rien de ces images de rêve, sa chatte toute fraîche mais déjà tellement dilatée. Je demandai à Candice de garder son énorme gode quelques instants dans le con pour bien l’écarter, puis de l’éjecter et gardant sa vulve bien ouverte avec les doigts. Elle s’exécuta et je pus prendre, en disposant correctement mon flash, une splendide photo de sa cavité vaginale offerte; je distinguais tous les plis de son sexe, tous les méandres de ses chairs jusqu’à l’entrée de son utérus.
    
    Je crois que c’est à ce moment, en contemplant le lieux le plus intime de son corps, que je suis tombé amoureux de la petite salope rousse.
    
    — Attends, je vais prendre le speculum, tu verras encore mieux ! s’écria t-elle.
    
    J’avais fait pas mal de choses en matière du cul et vu de nombreuses chattes écartelées par un speculum dans de films, mais je réalisai que je n’en n’avais jamais utilisé un, ni vu une fille en utiliser un en ma présence. L’objet était métallique et froid, avec ce côté médical. Candice me demanda si je voulais qu’elle se l’enfonce dans le cul ou dans la chatte. Dans la chatte pour commencer, lui dis-je, mais j’aimerais bien te voir le fond du cul aussi...
    
    Elle utilisait l’objet avec expertise - quelques instants plus tard, le spéculum judicieusement disposé lui ouvrait la vulve d’une manière invraisemblable : elle avait visiblement l’habitude d’entraîner son con à la dilatation et j’aurais pu sans problème entrer mon poing dans sa moule sans même effleurer le métal (mais ...
«1...345...10»