Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (1) - Histoires de Sexe

Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... (1)

... semblait pas avoir besoin d’indications : je la voyais onduler, prendre des poses, et s’immobiliser périodiquement pour me laisser le temps de faire une image nette. Une vraie pro. Elle écarta très largement ses fines cuisses et fit remonter sa jupette; sa petite culotte de coton était distendue, mouillée et Candice passait un doigt tout au long de sa fente, jusqu’à l’emplacement de l’anus. Elle n’avait pas commencé depuis deux minutes que ma queue commençait à ne plus savoir où se loger dans mon pantalon, alors qu’habituellement, la concentration nécessaire à la réalisation de belles photos m’éloignait de l’excitation.

Elle souleva son bassin et de ses deux mains, fit glisser sa culotte le long de ses cuisses. Elle la laissa tendue entre ses genoux, dans une posture de petite fille qui va faire pipi accroupie. Ses mains glissèrent à nouveau le long de ses cuisses et, me plantant son regard dans le mien, Candice s’écarta largement le sexe qu’elle avait recouvert d’un très fin duvet clair. Telle une acrobate de la chatte, je la voyais pousser pour faire battre ses muqueuses, son vagin s’ouvrait comme si elle avait déjà mis bas trois portées de chatons. Elle ne devait pas s’enfoncer que des stylos dans la moule, cette petite catin. Ses deux auriculaires écartaient aussi son anus, que je voyais distinctement, adorable étoile dont je rêvais de lécher l’intérieur. Comme elle poussait assez fort sur sa chatte, le petit anneau pulsait aussi, dévoilant un peu de chair rose.

— ...

... J’ai envie de m’enfoncer des trucs dans le cul et dans la chatte… annonça t’elle dans un souffle.

Elle se leva, laissa tomber sa culotte à ses pieds, me l’envoya et sans oublier de marquer les petites pauses pour me permettra de la shooter, se dirigea vers une petite commode. Je ramassai la culotte et la mis dans ma poche. « Je la garde, ça me fera mes honoraires », lui dis-je. D’un tiroir, elle sortit plusieurs jouets : un plug en métal brillant, dont la partie « immergeable » était plus longue qu’à l’accoutumée, un gros gode dont le diamètre semblait comparable à celui d’une canette, et un spéculum. En voyant voyant le spéculum je sentis ma bite durcir encore un peu plus. Candice retourna au canapé, et exauça mon voeu inconscient.

— Ca me saoule d’être la seule à poil…

Je la considérai un instant avec un air mi-amusé, mi-reconnaissant, en essayant de masquer l’explosion de joie qui m’habitait. J’essayai d’oublier que je n’avais pas un corps de mannequin et que ma bonne cinquantaine se lisait sur les plis de mon petit ventre aussi nettement que sur le gris de mes tempes. Je retirai chaussures et chaussettes, jean, ouvrit ma chemise. Je récupérai la petite caméra qui continuait à tourner, et m’approchai de Candice, en boxer. Elle rit et s’approcha de moi. Elle passa sa main sur ma queue à travers le tissu.

— On dirait que la petite culotte ne va pas être ta seule rémunération, Don Juan !

Elle m’enleva mon boxer, je l’écartai du champ d’un mouvement du pied. Ma ...