L'amant de ma femme est dans mon lit...
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
vengeance,
noculotte,
extraconj,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... laisser aller à ton désir, du moins au début.
— C’est vrai, j’ai essayé de lutter.
— C’est simple, je voulais te rouler une pelle, tu tournais la tête la première fois, et tu me donnais la bouche à la deuxième ; j’ai commencé à te caresser les seins, tu t’es plaquée contre moi pour coincer ma main jusqu’à ce que je l’enlève, à la deuxième tentative, j’ai déboutonné ton chemisier, je l’ai ouvert, j’ai sorti tes nichons pour les caresser et sucer les bouts. Même chose avec le bas, tu as repoussé ma main quand j’ai peloté tes fesses, et tu m’as laissé plonger dans ta culotte pour caresser ton minou, tu as même écarté les jambes pour que je puisse te doigter plus facilement.
— J’ai craqué.
— Et j’ai été ravi de faire craquer le vernis.
— Tu es doué, tu sais. Au début, je voulais juste provoquer mon mari et le rendre jaloux en faisant joujou avec toi, mais je ne sais pas comment tu t’y es pris, tu m’as mise en ébullition. Je ne sais pas trop à partir de quel moment j’ai perdu le contrôle.
— Au début, je me disais qu’un baiser sur la bouche était déjà une petite récompense, après, j’ai considéré les caresses, les attouchements, la main dans la culotte comme des bonus. Quand j’ai doigté ton minou, je me suis dit qu’à partir de là rien ne serait plus pareil entre nous. J’ai su que j’avais gagné le gros lot quand je t’ai enlevé la culotte et que tu t’en es débarrassée.
— C’est peut-être à ce moment que j’ai renoncé à toute résistance. Après, je savais ce qui pouvait arriver, ...
... mais je m’en fichais et même mieux, je voulais que ça arrive.
— Je me suis régalé depuis le début, mais le meilleur, c’était sur le canapé. Si je n’avais pas baisé sa femme, j’en aurais presque voulu à ton mari d’avoir précipité ta fuite.
— Réfléchis, s’il n’y avait pas eu fuite, il n’y aurait pas eu de retrouvailles, et tu n’aurais pas eu droit à la suite.
— Comment ça ?
— S’il était rentré quelques minutes après, tu aurais pu tranquillement finir de me sauter, mon mari aurait juste constaté l’adultère, je me serais rhabillée, tu serais parti, et on serait resté là, moi avec ta semence dans le ventre, mon mari avec ses cornes, et toi avec la satisfaction d’avoir sauté la femme de ton pote et d’avoir passé une bonne journée. Aussi inopportune qu’elle soit, cette intrusion a changé le cours des choses.
— Vu sous cet angle, tu as raison.
— Bien sûr que j’ai raison, tu m’as sautée une première fois, et maintenant tu me baises dans le lit de mon mari. Tu te rends compte de tout ce que tu m’as fait depuis que mon mari est descendu à la cave ?
— Je ne sais si c’est à cause de l’alcool, mais tu ne demandais que ça.
— C’est vrai que j’étais complètement saoule. Je ne m’étais même pas aperçue que tu m’avais sorti les seins à l’air et enlevé ma petite culotte, alors tu penses, tu as pu abuser de moi sans que je résiste beaucoup. D’ailleurs, aussi incroyable que ça puisse paraître, j’avais plus envie de me faire sauter que de résister. Bien sûr, je savais ce que tu me faisais, ...