L'amant de ma femme est dans mon lit... - Histoires de Sexe

L'amant de ma femme est dans mon lit...

... pas la première fois, par contre ce qui est une première, c’est que je me retrouve au lit avec mon cavalier.
— Et comment ça aurait dû finir ?
— Normalement, Zorro aurait dû arriver, me retirer d’entre tes pattes et sauver ma vertu. Les autres fois, ça s’est passé comme ça, et il a toujours été le pompier qui a éteint le feu.
— Avec sa lance et son foutre ! Tu lui racontes quand tu fais bander d’autres mecs ?
— Bien sûr.
— Tu es sûre qu’il a compris ce qu’ils voulaient ?
— Tu parles, lui comme moi savons très bien que les mecs ne veulent qu’une chose, me sauter, et mon mari en est parfaitement conscient.
— Et ça ne le gêne pas ?
— Non, c’est plutôt le contraire, il aime que je fasse bander d’autres mecs et aussi me voir me frotter. Il sait que je m’excite à mort. C’est un jeu entre nous, une sorte de défi coquin où les limites ne sont pas vraiment définies, je fais ma salope, je joue avec le feu, mais tout s’arrête quand mon mari dit stop.
— Et ça te plaît de faire ça ?
— J’adore allumer les mecs, ça m’excite tellement que parfois j’aurais aimé aller jusqu’au bout.
— Mais tu ne l’as pas fait ?
— Non, jusqu’à présent, il a toujours arrêté le jeu à temps, parfoisin extremis, mais toujours avant un vrai rapport sexuel, il n’a laissé personne d’autre profiter à fond de sa petite cochonne et tu peux me croire que je finis en feu.
— Tant que ça ?
— Tu ne peux pas savoir. Par deux fois, j’aurais pu facilement tromper mon mari. La première fois, ça se passait chez des ...

... amis en Ardèche, on a bien mangé et surtout bien bu, après nos amis ont mis de la musique pour danser, deux types se sont collés à moi pendant que je dansais, ils m’ont carrément draguée sous les yeux de mon mari, l’un me plaisait beaucoup, l’autre moins, j’ai dansé un slow avec celui qui me plaisait et il a attaqué avec des petits bisous dans le cou et un pelotage en douce, puis on s’est chauffés et quand mon mari nous a un peu oubliés, on s’est embrassés, on s’est caressés, je l’ai laissé me peloter les nichons, les fesses, mettre la main dans ma culotte et tout et tout. Exactement comme avec toi.
— Et ton mari ne disait rien ?
— Il discutait plus loin avec le maître de maison et d’autres invités. En fait, j’ai vite compris qu’il y avait une conspiration, des complices faisaient tout pour distraire l’attention des maris pour que leurs copains puissent s’occuper des épouses. Et j’en ai profité pour m’amuser un peu.
— Vous étiez plusieurs épouses vertueuses ?
— Il y avait aussi Valérie, la maîtresse de maison, en fait, le complot visait à éloigner son mari pour laisser le champ libre à un de ses amis.
— Et jusqu’où a été le jeu ?
— Assez loin, nous nous sommes retrouvées toutes les deux sur deux banquettes face à face, elle avec un mec, moi avec un autre. Moi j’avais les seins à l’air, la jupe relevée jusqu’au nombril, et les doigts qui me fouillaient me rendaient folle, le mec quant à lui s’était débarrassé de son pantalon et de son caleçon, il s’est arrangé pour que je ...