L'amant de ma femme est dans mon lit... - Histoires de Sexe

L'amant de ma femme est dans mon lit...

... le prenne dans ma bouche. Comme je ne me faisais pas prier, le mec s’est mis à califourchon sur moi pour que je le suce. Ce qui se passait sur l’autre banquette était pire, celui qui s’occupait de Valérie était passé à la vitesse supérieure, elle se faisait carrément sauter sous mes yeux. J’étais tellement excitée que je ne m’étais pas rendu compte que quelqu’un d’autre me caressait en bas depuis un bon moment, mais j’étais trop partie pour arrêter. J’ai relevé les fesses quand ce deuxième type m’a enlevé ma culotte, et j’ai écarté les cuisses pour qu’il me fasse ce qu’il avait envie. Le premier n’a pas tenu très longtemps, il a déchargé en partie dans ma bouche et sur mon visage, il m’a laissée seule avec celui qui faisait joujou avec ma minette.
— Jusque-là, ça va, sucer n’est pas tromper. Tu as été jusqu’où avec l’autre ?
— Il s’amusait à me branler et à me limer avec deux doigts, et il m’avait transformée en fontaine tellement je mouillais. J’étais tellement excitée que j’ai dit au type que je voulais une bite dans ma chatte et je lui ai demandé s’il avait envie de me la mettre.
— Je parie qu’il n’a pas dit non.
— Tu as raison, il n’a pas dit non, il est monté sur moi, est passé entre mes cuisses et après avoir promené son gland entre mes lèvres, il venait de me pénétrer et commençait à peine à me limer quand les maris sont revenus. Valérie avait fini depuis un moment, elle avait eu le temps de se rhabiller et de retrouver une allure respectable, mais son mari a eu le ...

... temps de voir mon baiseur remonter son pantalon et moi me relever à toute vitesse en cachant ce que je pouvais, sauf ma culotte qui était par terre.
— Du coup, tu as détourné ses soupçons de cocu sur toi.
— Exactement, il n’a rien dit, mais depuis ce jour-là, il me considère comme une belle salope qui fait cocu son mari, tandis que sa femme reste une sainte à ses yeux.
— Mais du coup, ta copine Valérie a eu son compte, mais pas toi.
— Tu as raison, j’en mourrais d’envie, mais le mec n’a pas eu le temps de me sauter.
— Je vois ça, tu étais à point.
— Quoiqu’en pense mon mari, je ne suis pas une allumeuse, j’étais prête à aller jusqu’au bout, je n’avais plus de culotte, mais mon mari ne m’a pas laissée seule assez longtemps. Si un des imbéciles qui m’ont draguée avait été plus malin, il m’aurait emmenée dans un petit coin tranquille et il m’aurait sautée tant qu’il voulait. Mon mari pense que je n’aurais jamais été jusqu’au bout, mais franchement, s’il ne s’était pas manifesté, ce mec m’aurait baisée plusieurs fois tellement j’étais en feu. Au retour, j’ai dit à mon mari que j’avais perdu ma culotte que le mec m’avait enlevée et je lui ai montré ma minette trempée, Bernard m’a traité de petite pute, et quand j’ai vu qu’il bandait comme un fou, je lui ai dit en le caressant qu’il était marié avec une salope. J’étais tellement excitée que j’ai demandé à mon mari de s’arrêter sur une aire de repos, je ne me suis pas posé de question, s’il y avait du monde ou pas, je me suis ...