1. Premiere expérience de candaulisme.


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, extraoffre, cocus, Oral pénétratio, init, confession, Auteur: GG1169, Source: Revebebe

    ... j’accélérai la cadence. Mon pubis claquait contre ses petites fesses délicieusement rebondies.
    
    À un moment donné, elle me demanda de ne pas éjaculer. Je lui donnai encore quelques coups de butoirs puis me dégageai de son puits d’amour.
    
    J’allumai une autre cigarette que je fumai le temps que nous récupérions nos forces. Ensuite, nous avons rejoint le chantier dans la chambre et avons commencé à peindre.
    
    Vers midi, pause déjeuner. Après le café et la cigarette, à nouveau le boulot.
    
    Une fois la pièce peinte, Jocelyne me demanda de finir ce que nous avions commencé le matin. Nous fîmes l’amour dans la pièce un long moment. Durant nos ébats, Jocelyne mit malencontreusement ses mains dans un bac de peinture. Nous avons arrêté de forniquer pour nous amuser avec la peinture.
    
    Par chance, c’était de la peinture à l’eau. Une fois calmés, Jocelyne me proposa de prendre une douche. Par après, elle me suça à nouveau, avidement. Je n’eus pas le temps de la prévenir que j’allais exploser. Le premier jet atterrit au fond de sa gorge, faisant reculer Jocelyne. Le deuxième l’atteignit au visage tandis que les jets suivants perdaient du punch et tombaient mollement sur sa poitrine. Jocelyne se releva en râlant, disant qu’elle n’aimait pas le goût du sperme.
    
    Réellement confus, je m’excusai puis nous nous sommes ...
    ... relavés. Une fois rhabillés, je l’embrassai et la saluai :
    
    — À demain.
    — Non, pas demain, dans quinze jours, c’est mieux.
    
    Un peu déçu, j’acceptai.
    
    Deux semaines plus tard, j’arrivai chez Jocelyne, très excité. Mon excitation tombait quand Jean-Louis m’ouvrit la porte. Il me précéda dans la cuisine puis me servit un café. Il souriait sans que je comprenne pourquoi.
    
    — Alors, elle suce bien ma femme, hein ? me dit-il brusquement.
    
    Je faillis m’étouffer avec le café que j’étais en train de boire. Je me sentis devenir livide et m’attendais à prendre un coup de poing.
    
    — Rassure-toi ! Je ne te frapperai pas. Je savais pertinemment que tu allais la sauter, c’est d’ailleurs pour ça qu’on a fait appel à toi. Je te remercie d’avoir su donner du plaisir à ma femme.
    
    Jocelyne entra alors dans la cuisine, juste vêtue d’un string.
    
    — Il y avait si longtemps que j’avais envie de goûter un p’tit jeune. Par contre, inutile d’en parler à tes parents. Cela restera entre nous trois.
    
    J’acquiesçai mais ne m’en sentis pas moins pigeonné. Je plantai là les travaux et repartis aussi sec chez mes parents.
    
    Une dizaine d’années plus tard, Jean-Louis et Jocelyne m’invitèrent chez eux pour une partie à trois, ce que je refusai. Depuis, je ne les ai plus revus, si ce n’est une fois ou deux par hasard dans la rue. 
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