1. Premiere expérience de candaulisme.


    Datte: 14/10/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, extraoffre, cocus, Oral pénétratio, init, confession, Auteur: GG1169, Source: Revebebe

    Ma première expérience de candaulisme remonte à près de vingt ans.
    
    Des amis de mes parents m’avaient demandés de passer afin que je fasse quelques bricoles d’électricité chez eux. Sachant que le mari n’était pas un "manuel", je ne me suis pas méfié.
    
    J’arrivai donc un samedi avec ma caisse à outils et commençai à travailler peu après avoir bu mon café.
    
    Peu de temps après mon arrivée, Jean-Louis, le mari s’absentait pour aller voir un ami.
    
    Quelques instants après le départ de son mari, Jocelyne, l’épouse, la quarantaine passée, encore une très belle femme, m’annonça qu’elle allait prendre une douche.
    
    J’étais perché sur un escabeau en train de changer une applique du couloir quand elle passa à côté de moi, ne portant qu’un peignoir. Je tentai d’en voir un peu plus mais le lourd tissu dissimulait ses courbes.
    
    Alors que je changeais la dernière applique du couloir, Jocelyne sortit de la salle de bains et regagna sa chambre. Elle ne referma pas la porte complètement mais suffisamment cependant pour me laisser croire qu’elle ne voulait pas que je la voie. En fait j’avais malgré tout une vue d’ensemble sur sa chambre grâce au grand miroir de son armoire.
    
    Lorsqu’elle retira son peignoir, la vue que j’avais de sa poitrine confirmait ce que je pressentais. Elle possédait de petits seins surmontés de tétons proéminents. Son pubis arborait un triangle noir, parfaitement taillé. Je ne pus m’empêcher d’avoir une érection pendant que je la regardais s’habiller. Elle ...
    ... s’assit sur le lit et enfila une paire de bas. Lorsqu’elle glissa une culotte en dentelle sur ses jambes gainées, je commençai à me caresser à travers le jean.
    
    Jocelyne mit ensuite un chemisier sans soutif et une jupe droite puis elle sortit de la chambre. À ce moment, son regard se posa sur la bosse de mon pantalon. Elle sourit.
    
    Un peu plus tard, après avoir rangé mes outils et alors que Jean-Louis venait de rentrer, je pris congé, avec deux cent francs en poche.
    
    Un mois plus tard, Jean-Louis me demanda si je pouvais venir faire des travaux de peinture, m’expliquant que la chambre d’amis avait besoin d’un ravalement. Nous nous sommes mis d’accord sur une date. J’arrivai dans les temps.
    
    Bien que l’on ne soit qu’au printemps, il faisait déjà chaud. De ce fait, je n’enfilai qu’une salopette et un teeshirt.
    
    Jean-Louis et moi, nous avons passé la matinée à bouger les meubles et à les recouvrir. À midi, Jocelyne nous appela pour déjeuner. Pendant que nous mangions, Jean-Louis dut s’absenter pour une urgence, il était pompier volontaire. Il quitta la maison précipitamment.
    
    Le repas terminé, je me rendis dans la chambre d’amis et commençai à masquer les huisseries.
    
    Un peu plus tard Jocelyne me rejoignit. Je commençais juste à enduire un mur, elle se pressa contre moi et glissa ses mains dans ma salopette. Lorsque ses doigts enserrèrent mon sexe, celui-ci se gorgea rapidement de sang. Il était déjà dur dans sa main. Surpris et ne sachant pas trop quoi faire, je la ...
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