1. J'adore courir !


    Datte: 07/02/2018, Catégories: fh, inconnu, grosseins, sport, jardin, préservati, pénétratio, Auteur: Ryn, Source: Revebebe

    ... Mais si c’est le prix à payer pour ce petit moment de bonheur, alors soit.
    
    De toute façon, on entend l’homme ou la femme en question s’en aller : nous gagnons donc quelques minutes de bonheur supplémentaire. Et c’est reparti pour la petite séance de baise avec la dame, toujours aussi superbement appuyée contre son arbre !
    
    J’ai envie de lui dire « Salope, t’aimes ça, hein ?! ». Mais je me contente de dire :
    
    — Ça va ?
    — J’ai connu pire !
    
    À dire vrai, je commence à m’inquiéter un peu : ça fait plusieurs minutes déjà que je la "besogne" avec un bon rythme, et je n’ai pas le moindre signe de satisfaction de sa part.
    
    Je sais que je suis loin d’être un gigolo, mais en général j’ai un minimum de "retours" de mes partenaires. Il faut dire aussi que Zohra, elle se mettait rapidement à crier (et m’insulter parfois), alors le contraste est violent ; et là, je sens que je suis déjà proche de l’explosion tandis qu’elle semble tirer la tronche les rares fois où j’aperçois son visage…
    
    — Bon, tu as bientôt fini ? me lance-t-elle tout en tournant un regard impatient vers moi.
    
    Un peu vexant comme phrase, mais bon… je commence à en avoir l’habitude. Je crois aussi que son attitude contribue pour pas mal à mon excitation.
    
    — Presque ! Laisse-moi deux minutes.
    — Nan, je te les laisse pas, trop long.
    
    Alors, elle se "désengage", et je me laisse faire tandis qu’elle se retourne face à moi. Je me retrouve alors tout penaud, mon membre bien dressé tandis qu’elle me fait ...
    ... face…
    
    L’espace d’un instant elle me toise avec un sourire narquois, d’un air qui veut dire « C’est moi qui commande ici ». Et aussitôt après ses mains s’emparent de mon sexe ; des mains habiles et qui savent ce qu’elles font ; et en l’occurrence, elles enlèvent le préservatif puis cherchent à faire cracher mon jus le plus vite possible.
    
    Si j’avais été un peu plus téméraire, j’aurais lutté. Mais j’étais au bord de l’explosion, juste décidé à profiter et non à lutter ; aussi, quelques secondes plus tard, je sentis mon sperme s’échapper tout en m’entendant proférer quelques cris rauques et sans doute terriblement grotesques.
    
    Loin d’être inactive, mon Ophélia avait entretemps approché sa bouche de mon sexe, et en recueillait ainsi tous ses rejets. Mais c’est qu’en plus elle avale ! Dieu doit exister pour avoir mis en travers de ma route une si charmante créature… Il y a bien quelques gouttes qui tachent son tee-shirt (si son copain fait une analyse ADN, elle est fichue) mais l’essentiel est récupéré.
    
    Bon, ceci dit, à peine en a-t-elle avalé une partie qu’elle recrache le reste aussitôt.
    
    — Beurk ! Tu m’avais dit que ça désaltérerait !
    — À dire vrai, j’ai jamais goûté… Désolé !
    
    En cet instant, je me sens à la fois terriblement satisfait, et quelque peu ridicule. Tandis qu’elle est déjà presque rhabillée, je reste sur place ne sachant quoi faire, pas encore remis de mes émotions.
    
    — Désolée, mais c’est fini. Et il n’y a pas de rab’ ! Inutile de réclamer "une autre" ...