La vie dissolue d'une bigote 3 :Geneviève découvre la sodomie
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... beau-père pour lui dire qu’elle « garde » sa femme un jour ou deux de plus. Que cela ne la dérange pas au contraire et elle recommence son bla bla bla…. La décision est prise, nous restons, en tâchant de ne pas montrer trop d’enthousiasme malgré tout.
Sans que nous y portions attention sur le moment, Madeleine n’avait parlé que de Geneviève. Elle était toujours persuadé que je n’étais « que l’amant » de sa cousine et avait volontairement caché ma présence au mari.
L’après midi, nous décidons d’aller visiter Toulouse. La cousine ne vient pas avec nous car elle doit régler quelques problèmes après les obsèques.
Dans la ville rose je guide Geneviève qui n’y est jamais venue. Visite obligatoire de la place du capitole. Il y a, comme d’habitude, beaucoup de monde qui se promène et photographie. Pour ne pas être séparés, je prends la main de ma belle-mère. Elle a tout d’abord un geste de recul et retire sa main. C’est la première fois que nous avons un geste comme cela en public et la surprise l’a faite réagir brutalement.
« Pas ici, voyons ! Il y a du monde !
Justement ! Ici, au milieu de la foule, dans une grande ville où personne ne nous connaît, cela passe inaperçu. D’ailleurs, si tu n’avais pas réagi ainsi, personne n’aurait rien remarqué. »
Elle se reprend malgré tout et lorsque je rattrape sa main, elle ne la retire plus. Nous déambulons un moment autour des marchands et des touristes. Arrivés devant la grande façade de la mairie, je l’arrête, me mets ...
... face à elle et je l’embrasse sur la bouche. J’ai prévenu son refus et la tiens bien. Elle réussi à reculer son visage pour dire « Vous êtes fou ! » je la fait taire « Ici personne ne nous connaît » Je reprends le baiser. Elle se laisse aller et nous échangeons un baiser d’amoureux longuement. Enlacés tendrement, je jette un œil autour de nous et je vois un couple qui sourit en nous voyant. Un jeune homme embrassant une femme mûre, ce n’est pas banal, mais ils ne sont pas choqués. Il est vrai qu’ils ne connaissent pas nos liens véritables.
Lorsque nous nous séparons, Geneviève a les yeux qui brillent.
« Vous êtes vraiment fou !
Tu n’as pas aimé ?
Ce n’est pas ça ! Je n’avais jamais embrassé quelqu’un comme cela en public, même pas mon mari ! C’est … fou !
Je suis sûr que tu mouilles, ma salope !
V… Vous êtes un voyou ! » Je ris de cet aveu et je reprends ses lèvres. Quand enfin on se détache je déclare en me tournant vers la façade du Capitole :
« Tu vois, on s’est embrassés devant monsieur le maire. C’est un peu comme pour un mariage !
Vous êtes fou ! Je….
Quand j’embrasserai ta fille le jour du vrai mariage, tu y repenseras ! » Je ris en voyant sa stupéfaction puis son embarras. Je reprends sa main avant de reprendre notre balade. Peu à peu, Geneviève se laisse aller. Elle n’a plus peur ni honte de s’afficher main dans la main ou quand je lui prends la taille pour échanger un baiser sur les lèvres. Elle est heureuse de se promener avec « son homme ». ...