1. La vie dissolue d'une bigote 3 :Geneviève découvre la sodomie


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... muscles là-dedans sont très forts. Allez viens »
    
    Docilement, elle prend position, je place bien ses fesses, les écarte sans trop de difficultés et j'investis à nouveau son fondement. Je l'encule sur un rythme doux. Je ne vais d’ailleurs pas jouir, mais longtemps, je vais la sodomiser, tout en caressant ses seins, son ventre et son clito. Elle jouit encore en comprimant ma bite dans ses fesses. Elle coule aussi abondamment et alors que je la branle encore, elle gicle en criant. Geneviève s'endort aussitôt comme une enfant dans mes bras, alors que peu à peu ma queue ressort de son anus. On s’est endormis ainsi, emboîtés. Enfermés comme dans notre bulle.
    
    La dureté du sol et la fraîcheur de la nuit nous réveillent. Bien sûr, nous ne sommes plus emboîtés, mais je serre toujours Geneviève dans mes bras, elle se retourne, le visage ravagé, mais souriante, elle se penche sur moi pour m’embrasser tendrement. Ce baiser dure longtemps comme si elle voulait ne jamais qu’il se termine. Il nous faut tout de même aller occuper les deux lits. Geneviève ne voudra pas que l’on se quitte et même à moitié endormie elle me suivra, au milieu de notre courte nuit, dans la seconde chambre.
    
    Le soleil est déjà haut lorsque nous émergeons, enfin disons que je suis réveillé par quelqu’un qui frappe à la porte. Je me lève, enfile au passage un shorty et ouvre la porte sur la cousine venue aux nouvelles. Je lui chuchote que ma belle-mère doit encore dormir, car je n’ai pas encore entendu de ...
    ... bruit. Elle me dit de la laisser dormir. Elle voulait aller au marché avec elle, mais nous attendra pour le déjeuner vers midi.
    
    J’ai du mal à réveiller Geneviève La douche « écossaise » va finir de le faire. Avant de s’habiller je lui demande de me montrer son cul pour voir s’il a souffert. Sans aucune pudeur, comme si c'était naturel, ma belle-mère se met à genoux et m'expose son cul. Son œillet brun est un peu rosi et j’en profite pour le lécher, ce qui la faire rire et me demander si je veux encore la prendre par là. Il n’est plus temps de batifoler. Je lui conseille un bon maquillage, qui n’effacera pas toutes les traces de sa « nuit de noce » comme elle dira plus tard en riant, mais cela sauvera les apparences.
    
    Alors que nous prenons le petit déjeuner en sa compagnie, la cousine Amélie nous propose de rester un peu plus que prévu, sous le prétexte que les deux cousines ne se voient pas souvent. Elle est très heureuse de faire un peu plus connaissance avec le futur gendre qui est charmant et attentionné, bla bla bla… ce qui nous a fait sourire ! Bref, vivant seule le reste de l’année, elle est enchantée de se trouver de la compagnie. Je dois dire que cela ne me dérange pas et fais signe discrètement à Geneviève que j’aime ça.
    
    Ma belle-mère fait bien sûr semblant de refuser tout d’abord par politesse, avant de se « laisser convaincre » pressée par sa cousine et par la perspective de moments d’intimité supplémentaires avec moi.
    
    La cousine téléphone elle-même à mon ...
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