Je me suis découvert au boulot. (4) - Histoires de Sexe

Je me suis découvert au boulot. (4)

... de laper à la source car j’avais peur d’en perdre une petite goutte. Ma partenaire était de plus en plus sensible et maintenant elle me bloquait la tête entre ses jambes ou plutôt plaquait contre son minou car ses jambes étaient bien loin de m’écraser les joues. Sa production de jus de minou ne se tarissait pas, j’avais même l’impression qu’elle augmentait. Maintenant je prenais des initiatives en allant glisser un doigt puis deux puis trois dans son vagin. La bougresse ne se débattait pas, bien au contraire, elle allait à la recherche de mes doigts qui manifestement lui donnaient beaucoup de plaisir. Elle a fini par prendre son pied grâce à son clitoris ce qui l’a fait crier de façon très forte dans le magasin.

Heureusement qu’il n’y avait strictement personne car tout le monde aurait cru à un viol ou un meurtre, mais en même temps j’étais content de lui avoir donné beaucoup de plaisir. De mon côté, je restais un peu sur ma faim, c’est pour ça que je me suis redressé pour aller positionner mon sexe à l’entrée de son vagin qui vous vous en doutez bien était on ne peut plus lubrifié. Sur le coup elle a été un peu réticente, quand elle a compris que j’étais sur le point de la pénétrer; mais en fin de compte elle a accepté que je vienne me glisser en elle. Le "tu es bonne ma cochonne" qu’elle m’a balancé m’a fait tout drôle mais cela m’a énormément excité. Du coup je n’ai pas été trop long à la pénétrer, l’étroitesse de son vagin m’a procuré de superbes sensations. J’étais ...

... quand même étonné qu’elle ait un vagin à ce point étroit, mais oh combien agréable à visiter.

En fait le fait qu’elle soit bien lubrifiée aidait beaucoup à la pénétration, j’ai personnellement une grande préférence pour les vagin étroits plutôt que ceux qui sont spacieux si je puis dire... Dans le cas présent j’étais comblé et Marie était une véritable féline pour ce qui est de l’acte sexuel. Il n’y a pas à dire ma partenaire aimait beaucoup faire l’amour et je pense qu’elle appréciait ce que je lui faisais. J’étais maintenant au-dessus d’elle, les bras tendus de chaque côté de ses épaules et je lui donnais des grands coups de reins réguliers pour aller le plus profond possible en elle. Heureusement que la tente de toit était posée sur 4 palettes superposées plutôt que sur des tréteaux car je pense que nous serions tombés depuis longtemps. J’ai trouvé ça très agréable que ma collègue me caresse les fesses pendant que je la pénétrais fermement.

Elle ne me caressait pas entre les fesses mais le lobe des fesses; elle avait l’air d’aimer les poils qui y étaient parsemés à cet endroit. Elle était complètement offerte maintenant même si de temps à autre j’avais quand même le droit à des petits commentaires très féminin et parlant de moi au féminin. Que ce soit Claude ou elle, le fait que l’on me parle au féminin m’excitait beaucoup. Malgré le manque de clarté je pouvais sans problème deviner la pointe de ses seins érigés et demandeurs de caresses ou d’affection. Pour l’instant ...