1. Je me suis découvert au boulot. (4)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... une robe très moulante qui descendait le juste sous les fesses. Là elle m’a dit que j’étais vraiment très bandante pour un homme et qu’elle était rassurée à voir q’elle me faisait quand même énormément d’effet. Je lui ai retourné le compliment car elle aussi une fois en petite tenue, elle était vraiment très appétissante.
    
    Nous nous sommes glissés dans la tente rectangulaire plutôt en forme de boîte et nous nous sommes collés sous les draps. Elle n’a pas été bien longue à venir jouer avec mon sexe qui, vous vous en doutez bien, était au garde-à-vous. De mon côté j’étais un peu mal à l’aise mais rapidement j’ai pris confiance en allant glisser mes doigts entre ses jambes. La coquine était trempée, cela annonçait une soirée voire une nuit bien chaude. Elle m’a demandé comment cela se passait quand c’était Claude qui s’occupait de moi, je lui ai répondu que la question était indiscrète pouvoir malsaine ce qui a coupé court à ce sujet de conversation. Elle a quand même retenter le coup en me demandant si j’aimais bien faire une fellation. De la façon la plus honnête je lui ai répondu que ce n’était pas désagréable même en tant qu’homme
    
    Rapidement il s’est mis à faire bon si ça te tente à toit rigide d’autant plus que nous avions fermé le zip des fois qu’il y ait des moustiques. Avec ses caresses d’une efficacité incroyable, je n’ai pas pu résister longtemps à aller lui faire une petite langue sous la couverture. Au fur et à mesure que je descendais, je sentais ses mains ...
    ... accompagner ma tête. Mon petit doigt me laissait entendre que Marie avait elle aussi envie que je m’occupe de son petit abricot. En plus de son parfum raffiné, l’odeur de son entrejambe était elle aussi très plaisante; je suis rapidement arrivé à son entrejambe où j’ai pu constater une toison très bien entretenue. Nous étions un peu dans l’obscurité avec juste les blocs secours qui éclairaient quand même pas trop mal, mais tout ce que je pouvais deviner sous la couverture était on ne peut plus désirable.
    
    Au début j’ai commencé par humer cet entrejambe puis après j’ai commencé à poser ma langue avant que celle-ci ne devienne indiscrète et entreprenante. J’avais à peine commencé à me servir de ma langue que ma collègue réagissait telle une pile électrique. Là, à ma grande surprise elle s’est mise à écarter les jambes, ce qui m’a laissé avant tout découvrir une souplesse inattendue de sa part. C’est vrai aussi qu’une fois les jambes bien écartées j’avais un accès on ne peut plus commode à son intimité. Elle commençait à me traiter de tous les noms mais surtout à soupirer très fort et soulever son bassin régulièrement. Elle se caressait les seins; de mon côté, je m’occupais de son clitoris qui était de belle taille et ses lèvres étaient bien développées. À ce que je voyais je pouvais en conclure que Marie n’en n’était pas à son coup d’essai.
    
    Son vagin suintait abondamment sans arrêt, le goût de son nectar était vraiment formidable. C’était une horreur j’étais toujours en train ...
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