1. Les petits plats dans les grands


    Datte: 07/02/2018, Catégories: fh, 2couples, piscine, Collègues / Travail soubrette, pénétratio, hgode, hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... commence à chauffer.
    — Chauffer ?
    — Bien oui. Ils commencent à vraiment se libérer.
    — Ah !
    
    Je crève d’envie d’aller voir. Je crève d’envie de l’interroger, mais j’ai promis et je ne veux pas trahir la confiance de Lise.
    
    Elle se sert un verre de vodka. Je la regarde.
    
    — Pour me donner du courage, dit-elle.
    
    Et aussitôt le verre posé, elle enlève son tablier. Elle est nue. D’une main elle accroche le tablier bleu, de l’autre attrape le plus petit blanc immaculé et le met.
    
    Un coup d’œil dans la glace, un souffle avec une brosse à cheveux, elle s’empare du plateau préparé, un « Ça va ? » pour que je vérifie si tout est OK, n’attendant même pas une réponse et voilà partie ma copine. La dernière vision que j’ai d’elle, ce sont ses fesses qui tressaillent avec ses hauts talons que je remarque seulement maintenant.
    
    C’est pas possible, cette bande de partouzeurs va me la kidnapper. Pire, ils vont la séduire et l’inclure dans leurs jeux.
    
    Je veux voir. Oui, au moins si je dois être cocu autant que j’en profite et que mon infortune me renforce au lieu de m’affaiblir. Déjà je vois Lise céder aux avances d’un bel homme, sûrement célibataire, riche, expert en sexualité puisqu’il participe à ces soirées.
    
    Je me calme. Quoi faire d’autre. Passer la porte. Mais alors je trahis sa confiance, mais surtout la mienne.
    
    Combien ? Une éternité ? Une minute ! Dix ! Vingt ! La vodka m’aide un peu. Enfin, elle revient. Elle paraît bizarre. C’est une impression ou ses tétons ...
    ... pointent ?
    
    — Oh, c’est chaud, dit-elle.
    
    Je distingue maintenant des gouttes de sueur sur son front.
    
    — Viens.
    
    Elle m’entraîne. On passe la porte de la cuisine. Le couloir me paraît bien long. Elle ouvre la fameuse porte.
    
    — Regarde, dit-elle en me poussant un peu.
    
    Le salon. Des tables. Des fauteuils, des canapés. De la musique.
    
    Et… et… à quelques mètres. Des corps qui s’activent.
    
    — Laisse-moi un peu de place, me dit Lise en passant juste à côté de moi.
    
    Le salon donne sur une grande terrasse qui descend vers la piscine. Il fait nuit dehors, les glaces des grandes baies vitrées font comme un mur. On ne voit quasiment pas dehors. Mais appuyée contre une baie, une femme qui semble regarder ce qui se passe de l’autre côté est en train de se faire prendre par un homme.
    
    Lise me tape sur l’épaule pour attirer mon attention. Elle m’indique plus à gauche, vers un canapé. Je comprends en voyant. Notre hôtesse chevauche un homme allongé. Sur un siège pas bien loin, c’est notre hôte qui est assis et qui regarde le couple. De temps en temps, la femme se retourne pour regarder son mari. Lui se branle lentement. Elle s’active et se fait du bien sur la queue que l’on ne voit pas, mais l’imagination fait le reste. Un bon moment nous les regardons, voyeurs dissimulés, et puis la femme se lève pour s’allonger sur le canapé. C’est l’homme dont on entraperçoit l’engin, qui vient maintenant la prendre. Maintenant, c’est lui qui la baise. Le mari regarde toujours, complice. ...
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