1. Les petits plats dans les grands


    Datte: 07/02/2018, Catégories: fh, 2couples, piscine, Collègues / Travail soubrette, pénétratio, hgode, hsodo, échange, Partouze / Groupe confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... élément. Mes mains ne servent plus à rien, c’est ma queue qui est la cheville sur laquelle elle se plante.
    
    C’est bon. Un couple en apesanteur ne serait pas plus libre de leur corps.
    
    Mais cela devient trop fort. Lise se cabre. Ma verge s’échappe. Je l’empoigne à nouveau. Mon gourdin retrouve le chemin de la grotte. Moi aussi l’excitation me submerge. Je la bourre sans ménagement. Le clapotis se transforme en tsunami.
    
    La vague enfle, enfle. Mon jus noie tout sur son passage. Elle aussi jouit dans une crispation accompagnée de gémissements qu’elle ne retient pas, persuadée que nous sommes seuls.
    
    En nous séparant, nous libérons des filets de foutre qui vont bientôt aller rejoindre dans le filtre de la piscine d’autres liqueurs que des amants nocturnes ont certainement abandonnées cette nuit.
    
    C’est en sortant de la piscine que nous découvrons nos hôtes tranquillement installés sur la terrasse de leur maison.
    
    — L’eau est délicieuse, n’est-ce pas, dit la femme avec un sourire qui en dit long.
    
    Lise se serre contre moi, troublée de ce que nous ne soyons plus seuls.
    
    — Venez vous asseoir, vous avez bien mérité un peu de repos après votre service d’hier soir. Continue la femme. Venez prendre une coupe… Je vous en prie…
    
    Elle nous montre l’autre canapé qui leur fait face, de l’autre côté de la gigantesque table basse en verre gravé.
    
    Nous nous installons. Le silence n’est troublé que par le délicat bruit des bulles de champagne qui pétillent.
    
    — À votre ...
    ... santé, déclare notre hôtesse qui se lève et qui tend sa coupe pour trinquer.
    
    Bientôt tous quatre, debout, tendons le bras pour heurter nos verres au-dessus de cette table si large qu’elle nous fait comme un rempart à notre pudeur. Lise et moi n’avons que les gouttelettes d’eau pour nous habiller. J’imagine que se montrer nus devant d’autres ne dérange pas nos hôtes qui sont totalement à l’aise.
    
    — Ma chère, votre prestation d’hier a marqué tous les esprits, dit la femme en s’adressant à Lise. Tout était parfait. La cuisine bien sûr, mais le service particulièrement.
    — Merci.
    — Ne soyez pas modeste. Toutes les femmes ont été jalouses de votre présence. Les hommes n’avaient d’yeux que pour vous. Cette idée de vous dénuder petit à petit, plat après plat, service après service, est géniale. C’est vous qui avez eu l’idée, Loïc ?
    — Pas du tout. Un concours de circonstances, se charge de répondre Lise.
    — Après votre départ, vous nous avez laissé des hommes chauds comme des braises et cela a été un plaisir pour nous les femmes de récolter ce que vous aviez semé.
    — Merci.
    — Et vous Loïc, on ne vous a pas vu. Vous avez été relégué aux cuisines tout ce temps ?
    — Eh oui, sauf à la fin…
    
    Je m’interromps, conscient d’en avoir trop dit.
    
    — À la fin, vous disiez.
    
    Maintenant, c’est l’homme qui questionne. Lise répond pour moi.
    
    — En réalité, nous sommes venus quelques minutes pour regarder.
    — Ah et qu’avez-vous découvert ?
    — C’est gênant ! Je n’oserais pas vous dire, ...
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