Meriem, alias, Marie
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
Première fois
Auteur: mr-courage, Source: xHamster
... d’argent. Je crois que j’en ai fait une espèce de compensation : l’argent contre le plaisir et le bonheur d’une relation amoureuse. Mais hier, quand je t’ai revu, toutes mes frustrations sont remontées à la surface. Le passé est revenu, et avec lui le désir de ratt****r le temps perdu. Dès que je t’ai vu, j’ai pris la décision de reprendre notre relation, là où on l’avait laissée, il y a trente ans.
- Et tu étais assurée que j’accepterai sans problèmes ?
- Oui, quand tu m’as dit que tu étais toujours célibataire et donc libre. Je me suis rappelé combien tu me trouvais belle et désirable. J’ai vu dans tes yeux que je te plais encore, même si j’ai vieilli et grossi.
- Tu es toujours aussi belle qu’avant ! Peut-être même plus, parce que plus mûre !
- Tu veux encore de moi ? Tu veux encore me faire l’amour et me donner le même plaisir qu’avant ? Je t’en prie ne me dis pas non !
- Je ne peux pas dire non à une si belle femme. A condition que tu acceptes absolument tout ce que je demanderai ; même les choses qui te paraîtront bizarres ou immorales. Tu sais que j’ai toujours été plus ou moins pervers dans mes relations amoureuses ; c’est comme cela que je prends le plus de plaisir. Contrairement à ton mari, je ne peux pas me contenter de grimper sur toi et de faire quelques allers-retours dans ton intimité. Je te veux corps et âme ; totalement soumise ; comme une chienne ! Tu veux être ma chienne ? M’obéir au doigt et à l’œil ?
- Oh oui ! Mille fois oui ! Je suis ...
... déjà complètement mouillée, rien qu’à cette idée d’être ta chienne ! Tu veux voir ?
- Non ! Je veux que tu commences par me déshabiller lentement, en commençant pas mes souliers.
Elle se leva du sofa sur lequel elle était assise et vint se mettre à genoux devant moi. Elle délaça ma chaussure droite et l’envoya balader à l’autre bout de la pièce ; me souleva le pied pour ôter la chaussette, qu’elle jeta elle aussi au loin. Elle passa à l’autre pied pour faire la même chose. Elle leva la tête pour s’assurer que j’étais satisfait de la voir aussi soumise. Je lui fis signe de se lever et de m’ôter la chemise. Elle le fit en dégrafant lentement les boutons un à un, en sortant les pans du pantalon et en l’enlevant complètement, en caressant au passage ma poitrine velue.
Elle passa ensuite au pantalon dont elle défit la ceinture, dégrafa le bouton et ouvrit la braguette. Au passage, elle massa furtivement mon sexe, comme pour vérifier qu’il a toujours envie d’elle, comme il y a trente ans. Elle abaissa le pantalon sur mes cuisses en profitant pour me palper les fesses et faire passer ses doigts sur le renflement que faisait mon sexe sur le devant de mon slip. Elle me fit lever tour à tour la jambe droite puis la jambe gauche pour ôter le pantalon et le jeter par terre, à l’autre bout de la pièce.
Je restais ainsi en slip, le sexe dressé comme un mât de tente. Je lui fis signe en silence d’enlever le dernier rempart qui cachait mon intimité. Ce qu’elle fit en un tour de ...