Le nouveau chef
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
hotel,
amour,
cérébral,
conte,
Auteur: Jade.E, Source: Revebebe
... arrivons à Paris. J’ai tout simplement rêvé. Ça m’a semblé si réel ! Roland me regarde et me dit :
— Je ne sais pas de quoi ou à qui tu rêvais pendant ta petite sieste, toujours est-il que tu avais l’air d’y prendre plaisir.
Mon Dieu, je deviens folle, je fais des rêves érotiques à ses côtés maintenant !
Pris dans notre travail, la journée passe vite. Nous avons dîné ensemble pour parler boulot. À la fin du repas, Roland me dit :
— Allez ! On ferme nos dossiers et on ne pense plus boulot jusqu’à demain.
J’acquiesce car ces journées en extérieur sont intenses.
— Je vais aller me coucher, lui dis-je.
Au moment où je sors cette phrase je me maudis, pourquoi ne lui ai-je pas dis :
— tu viens dans ma chambre, j’ai trop envie de sentir ton sexe me prendre ?
— Déjà ! Répond-il, tu ne veux pas qu’on boive un dernier verre avant ?
(Non, je veux que tu me boives, moi !)
— Ok, nous le prenons où ?
— Si je te propose de venir dans ma chambre, ça te va ?
Mon hochement de tête remplace un oui qui aurait été un :
—oui je veux que tu me baises.
La porte de sa chambre à peine refermée, Roland me prend dans ses bras et m’embrasse. Avec une certaine impatience, il me déshabille et je me retrouve nue allongée sur son lit. Je m’offre sans aucune résistance à sa bouche, à ses mains. Il me couvre de baisers, de caresses. Il fouille mon antre, s’en délecte. Je veux sentir sa peau nue sur moi. Je le déshabille alors qu’il me dévore avec gourmandise. Je jouis ...
... sous sa bouche. Il finit d’ôter tous ses vêtements, le temps que je reprenne pied. Il est là, enfin nu devant moi. Je me colle à lui. Le contact de nos peaux me donne la chair de poule. Cet homme est le diable. Je ne peux me détacher de lui.
Comme envoûtée par son corps, je le caresse à mon tour, l’embrasse. Il me laisse faire, me fait sentir qu’il apprécie. Son sexe est au garde-à-vous, il m’appelle. Je le prends entre mes mains, joue avec. Un filet transparent s’échappe de son gland. Je joue avec, ma bouche affamée se pose sur sa hampe. Je m’approprie celle qui plus tard me pénétrera. Ma langue s’amuse sur son nœud, cherche à s’insinuer dans son méat urinaire alors que mes mains jouent avec ses testicules. Sa verge est si dure que je n’aspire qu’à une chose, qu’elle entre en moi.
Ma bouche libère son sexe, remonte tendrement le long de son corps. Je m’allonge sur Roland pour échanger un baiser qui dévaste tout mon corps. Il me relève le bassin et sans un mot, positionne mon vagin sur sa queue. Attirés l’un par l’autre, ils se rejoignent, font connaissance, s’adoptent immédiatement. Je m’assois sur lui pour mieux sentir son bâton me prendre.
Tranquillement, je profite du bonheur tant attendu de ne faire plus qu’un avec celui qui hante chaque jour mes fantasmes les plus fous. La cadence s’accélère, mon souffle également. Il me bascule, me renverse pour se retrouver à son tour sur moi. Je sens les prémices de sa jouissance arriver. Il m’embrasse et ses coups de reins ...