Mes amours de chien.
Datte: 07/02/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Auteur: Xham-34, Source: xHamster
... peut-être qu’il pensait toujours que ce n’était qu’une sorte d’accident. Il dit qu’il pouvait nous verser un seau d’eau froide pour aider au désaccouplement. J’ai renouvelé mon invitation à le faire asseoir, ce qu’il finit par faire, ses jambes ne le soutenant plus quand il commença à comprendre que ce n’était pas un accident (ce que les maris sont crédules tout de même !). Je ne voulais pas être méchante avec lui mais je voulais que les choses changent, et après une telle scène, j’étais sûre qu’il y aurait du changement.
Poppy est resté en moi pendant une demi heure. C’était toujours aussi bon. Malgré la présence de mon époux qui nous regardait et qui m’écoutait, j’avais du plaisir. A chaque fois que Poppy giclait en moi, je poussais un râle. Je me contractais souvent pour provoquer le jet. Quand Poppy sortit son nœud, la sensation de mon vagin ouvert à l’extrême me fit pousser un cri. Comme à chaque fois, j’attrapais son sexe et le suçais goulûment. Je savais qu’à partir de cet instant mon mari ne croyais plus du tout à un accident. Il était clair que je le voulais, que j’aimais ça, que j’avais tant de jouissance à sucer cette bite et a boire ce foutre. Poppy resta dur pendant encore une bonne demi heure et pendant tout ce temps, j’ai bu tout ce que j’ai pu.
Quand ça a été fini, j’ai accepté de m’expliquer. Ma chatte dégoulinait encore du jus de Poppy mais ce n’était pas important pour moi. J’étais excitée par l’idée de garder sa semence en moi plutôt que de prendre ...
... une douche. C’est comme ça que nous avons parlé, moi nue et pleine de sperme et mon mari dans son costume. Je ne me rappelle pas ce qu’il m’a dit, seulement les termes de notre accord final. Je lui ai proposé de partager mes jeux avec Poppy mais il refusa. Nous avons décidé de ne pas divorcer (c’était son choix) mais de faire chambre à part (ce fut mon choix). C’était la fin officielle de mon devoir conjugal. Ce fut le début officiel de ma vie avec mon chien. J’avais jusque là été la femme de mon mari et désormais je devenais la femelle de Poppy.
Après ça, je fus baisée jour et nuit, y compris les week-end. Poppy pouvait me prendre cinq ou six fois par 24 heures. Nous vivions dans la même chambre et il dormait sur mon lit. Je n’avais plus besoin du matelas d’appoint. Poppy me baisait dans notre lit. A chaque fois qu’il avait envie, je lui offrais ma chatte. A chaque fois que j’avais envie, je n’avais qu’à jouer avec ses couilles, son fourreau et son anus (oui, je le sodomisais avec mon doigt pour le stimuler) jusqu’à ce qu’il bande et que je puisse le sucer. Je me rappelle les fois où sans succès j’avais essayé de stimuler mon mari de la même façon. Poppy n’aurait jamais grogné et tourné le dos. Au contraire, il offrait son ventre et ouvrait ses cuisses à mes caresses. C’était facile à ce moment là de tirer sur la peau et lécher le bout rouge. Ça m’excitait de le voir bander petit à petit jusqu’à ce que la bite sorte totalement. Nous jouions souvent en 69, côte à côte, tête ...