1. Mes amours de chien.


    Datte: 07/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: Xham-34, Source: xHamster

    COMMENT JE SUIS DEVENUE LA CHIENNE DE MON CHIEN
    
    Ceci est l’histoire de ma vie avec mes chiens.
    
    Mon nom est S. J’ai été mariée (je veux dire: à un homme) mais ce n’est plus le cas. Cette histoire a commencé il y a un peu plus de dix ans.
    
    Un de mes cadeaux de mariage était un bébé Bull Terrier Staffordshire. Je ne me doutais pas que Poppy (c’est le nom que nous lui avons donné) serait la cause principale de mon divorce cinq ans plus tard.
    
    Mon mari ne faisait pas grand cas du sexe. Nous faisions l’amour deux ou trois fois par semaine alors que pour ma part, j’en avais envie plusieurs fois par jour. Sa position préférée, c’était le traditionnel missionnaire. Ça me convenait à nos débuts mais petit à petit, je trouvais cela de plus en plus ennuyant. Il n’aimait pas tout ce qui concerne le sexe oral, fellation, cunnilingus. Quant à moi, j’aimais beaucoup son sexe et tout particulièrement le gland quand il était luisant, tout rouge et gonflé par l’excitation. Je rêvais de le mettre dans ma bouche. Je l’ai fait au tout début mais quand j’ai vu la réticence de mon mari, je me suis de plus en plus abstenue, jusqu’à ne plus le faire du tout. Résultat, je n’ai jamais goûté son sperme.
    
    Mon mari travaillait tous les jours, de 9 à 17. Il partait à 8h15 et était de retour à 17h45. Il en a toujours été ainsi, pendant les cinq années de notre mariage. De mon côté, je suis juste la maîtresse de maison. Les féministes disent que c’est un travail à plein temps mais je dois ...
    ... avouer qu’on n’a pas tout à fait les mêmes contraintes que dans un vrai boulot. Par exemple, je pouvais me masturber plusieurs fois par jour. Est-ce qu’on peut se masturber plusieurs fois par jour au bureau ?
    
    J’ai développé un vrai penchant pour la masturbation, je devrais plutôt parler de jeux sexuels en solitaire parce que j’aimais me mettre en scène. Je jouais principalement dans la salle de bains (y compris les week-end -merci le verrou-). Je pouvais tout salir parce qu’il était facile et rapide d’enlever toutes les traces de mes branlettes. J’aimais me servir de légumes comme les carottes au début, puis les bananes (mais il faut les choisir plutôt vertes pour qu’elles résistent à la pression) et progressivement, je suis passée aux courgettes et concombres pour finir avec des aubergines. Ne le répétez pas à mon mari, mais il a mangé quelques salades et plats confectionnés avec des légumes après emploi (mais aussi après un soigneux lavage, je vous rassure : je ne pouvais tout de même pas m’abstenir de manger ma propre cuisine). Bien sûr, aujourd’hui il est facile d’acheter des godemichés divers et variés sur internet, mais il y a dix ans, internet était encore rare et les légumes du supermarché étaient bien plus commodes.
    
    Au bout de six mois, Poppy donnait des signes de maturité sexuelle. Il se frottait de plus en plus régulièrement sur ma jambe et je pouvais voir son sexe rouge sortir de sa gaine. Je dois avouer que ça ne me laissait pas indifférente et pour être plus ...
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