1. Mes amours de chien.


    Datte: 07/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou BDSM / Fétichisme Hardcore, Auteur: Xham-34, Source: xHamster

    ... langue.
    
    Plus tard, Poppy me laisserait le sucer plus longtemps et plus facilement. Je m’entraînais à pénétrer son urètre. J’adorais engouffrer toute sa bite avec le nœud jusqu’au fond de ma gorge. J’aimais cette sensation d’avoir la bouche remplie. Pendant que je le suçais, je me branlais. Je jouissais toujours très rapidement tant cela m’excitait. Je n’avais rien connu d’aussi fort dans ma vie.
    
    Après ma première expérience sexuelle avec Poppy, j’ai délaissé mes légumes (enfin, plus ou moins, vous verrez pourquoi un peu plus loin). Je jouais désormais tous les jours avec Poppy dans la salle de bains. Je m’allongeais sur le sol et laissais Poppy bouger librement. Régulièrement, il venait près de moi et je le prenais en bouche. Je me branlais et jouissais plusieurs fois à chaque séance.
    
    Une conséquence fut que j’ai commencé à de moins en moins apprécier les rapports sexuels avec mon mari. Poppy m’excitait tellement et j’avais tant de plaisir à me masturber dans la journée que je n’avais plus guère d’appétit en soirée. Nous continuions cependant à faire l’amour et j’aimais la pénétration et l’éjaculation mais ça n’était plus qu’un complément à mon activité sexuelle qui était principalement mes séances de fellation avec Poppy. Un autre effet secondaire fut que les week-end commencèrent à tirer en longueur. J’étais impatiente d’arriver au lundi, 8h15. Les nuits des dimanches, je ne pouvait pratiquement pas m’endormir, comptant les heures avant que je puisse avoir de ...
    ... nouveau le goût de Poppy dans la bouche.
    
    La seconde semaine après ma première expérience sexuelle avec un chien, j’ai essayé de branler Poppy. Je voulais goûter son sperme. J’avais déjà léché le jus sur sa queue, mais je voulais avaler son foutre. Je voulais même qu’il gicle dans ma bouche. J’ai de nouveau préparé mon terrain de jeu dans la salle de bains. J’étais nue (Poppy aussi !) et comme c’était devenu notre habitude, j’ai commencé à le sucer. Cette fois, je ne me suis pas contentée de tenir sa bite mais je l’ai aussi branlée, délicatement au début (je ne savais pas si c’était douloureux pour un chien de se faire manipuler le sexe) puis de moins en moins délicatement, la secouant de plus en plus vite. Poppy ne fut pas très long à jouir et je ne m’étais pas assez préparée. Il a éjaculé alors que je ne le suçais pas. Il a giclé sur le sol. Mais j’ai pu goûter le sperme, d’abord au bout de la verge parce que je l’ai gobée tout de suite après, et aussi sur le sol parce que j’en ai pris sur mon doigt que j’ai léché, avec curiosité tout d’abord puis avec délice.
    
    J’ai remarqué que Poppy, après son éjaculation, continuait à gicler régulièrement, toutes les cinq secondes. J’ai orienté sa bite juste au-dessus de mon visage et j’attendais le prochain jet la bouche grande ouverte. Je me suis astreinte à ne pas avaler avant d’en avoir une petite quantité pour mieux savourer. J’aurais pu ainsi m’abreuver pendant des heures. Poppy pouvait rester près d’une heure en érection après le ...
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