1. Pauvre Nico ! (1)


    Datte: 10/10/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Ma belle-sœur Alice se désespérait pour tout et rien dans la vie. Elle semblait toujours au bord de la dépression, au bord des larmes... moi, je savais que c’était une espèce de rôle, pour s’attirer l’empathie des autres. Sous des abords charmants et innocents, mais une attitude toujours éplorée, la fine mouche cachait bien son jeu. Pour preuve, elle avait essayé quelques années plus tôt de me jeter dans son lit.
    
    Et le verbe “jeter” était à peine exagéré, car elle avait mis le paquet pour que je dépasse la ligne jaune : petits rendez-vous discrets hors de la présence de ma femme, grandes conversations avec regards très ambigus, propos d’invite sexuelle à peine voilés, et même, même ! La reprise du jeu de jambes dans “Basic instinct”... avec culotte... malheureusement. Mais avouez que ce n’est pas tous les jours que l’on a une belle-sœur qui vous arrange des coups comme ça !
    
    Alice et Cécile... deux sœurs avec des physiques et des caractères radicalement opposés.
    
    Cécile ma femme, grande, blonde coupée courte, petite poitrine et corps très musclé, caractère assez fort et volontaire, 39 ans.
    
    Alice, sa sœur aînée, rousse aux cheveux très longs, comme une flamme qu’elle traînait derrière elle, feu intense qui faisait se retourner tous les hommes dans la rue... des seins assez alléchants avec une peau laiteuse, et un physique plutôt généreux sans excès.
    
    Mais un caractère assez faible, fantasque, toujours en train de se plaindre, comptant sur l’aide des ...
    ... autres.
    
    A ce tableau, il fallait quand même rajouter un facteur : si ma femme était une amante à peu près correcte, quoique pas assez assidue, et encore les choses s’étaient bien arrangées depuis 10 ans, je devinais que ma belle-sœur était, elle, une véritable goulue ! Mais j’avais su lui résister, et m’en étais ouvert à ma femme. Cécile avait accusé le coup, mais n’avait rien fait, se réservant une vengeance incertaine pour plus tard. Or elle n’allait pas tarder à pouvoir l’exercer, et cela par l’entremise du fils de sa sœur, Nicolas.
    
    Or donc, de retour dans notre maison, après un séjour dans la belle-famille, ma femme me décrivit le caractère désespéré de sa sœur quant à son fils unique. Si celui-ci était depuis un temps interminable au chômage, et cela malgré des études de sociologie très brillantes, il semblait n’avoir plus goût à rien, se laissait aller et n’échangeait plus avec quiconque, hormis sa mère au moment des repas. Repas qui consistaient en la portion congrue, car Nico semblait déclarer une crise d’anorexie assez grave.
    
    Ma belle-sœur s’en ouvrit à ma femme, lui expliquant que tous les médecins, ou thérapies diverses n’avaient eu aucun effet : Nico ne mangeait quasiment plus, ne s’intéressait plus à rien, végétait, semblant attendre une délivrance qui ne pourrait que lui être funèbre.
    
    Devant ce dilemme, ma femme me dit qu’il fallait absolument faire quelque chose pour aider ce pauvre garçon qu’elle aimait beaucoup... elle invita donc son neveu à venir passer ...
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